<blockquote class="ipsBlockquote">Tu as conscience que ton discours est assez proche de ceux tenus par les sectes, et les fanatiques religieux
Tu as conscience que c'est toi qui crois un rapprochement sectes et fanatismes religieux sur cette phrase ? Faizon depuis le début je te demande s'il te plait, de penser aux croyances que tu écris car tu ne sembles ne pas t'en rendre compte :sleep: (j'aurai peut être du le dire plus clairement, désolé). La croyance est née de ce que tu considères comme certitude et acquis, et aussi de la perception des paroles/actes d'autrui que tu interprètes en fonction. La religion est une forme de croyance, elle ne symbolise pas pour autant "la croyance". A partir du moment où ta croyance te dis de ne pas lire mon long post (j'avoue, c'était long ^^) suite à son ouverture (qui donc fait un mauvais echo à tes croyances) c'est comme si avais déjà décidé de ne pas accepter quoique ce soit que je puisse te dire. A partir de là on peut toujours se demander qui veut vraiment débattre ou déstructurer le débat non ?
</blockquote>
Hein ? Il va falloir recommencer, ce que tu écris ne veut pas dire grand-chose, ou alors je passe complètement à côté de ton propos, mais grammaticalement, je n'y arrive pas et ne comprends pas une bonne partie ce que tu me dis.
Il n'est pas question de mes "croyances", mais bel et bien d'une analyse ici aussi factuelle que possible de ton processus de présentation des faits. Et, au lieu de rebondir sur cela et de me dire (de nous dire, je ne suis pas le seul à considérer ce point comme problématique) quelles sont tes sources d'information, ou pour quelle raison tu procèdes de la même manière que ceux que tu accuses en ne nous les donnant pas, tu préfères rebondir sur autre chose, et, du coup, clairement ne pas faire avancer le débat.
Je t'ai exposé mon problème (j'ai lu le reste, mais vis-à-vis de mon problème, la pertinence du reste disparaissait donc), je t'ai posé des questions précises à ce sujet, j'ai exposé la raison de ma gêne en détail, et je n'ai pas eu la moindre réponse à ce sujet. À partir de là, on est dans un processus rhétorique qui coince, à mes yeux, en ce qu'il tourne plus dans un fonctionnement d'endoctrinement que de partage de connaissances. Je le redis : je ne questionne pas le propos que tu tiens, je n'en suis même pas encore là, je questionne ta façon d'amener ce propos.