Je continue les "découvertes":
-UQ Holder (Ken Akamatsu):
Une "suite" de Negima! qui se déroule environ 70-80 ans plus tard, je dirais (faudrais que je recoupe les dates). Tôta, le héros est le petit-fils de Negi, on est encore flou sur ses ascendances (histoire de ne rien révéler des amours de Negi). Tout au plus on sait par son patronyme, Konoe, que sa généalogie croise celle de Konoka à un moment ou un autre. Negi, lui, est volontairement porté disparu. Le monde actuel semble avoir pas mal de connexions faites avec celui de la série précédente.
Après deux volumes, on sent qu'akamatsu continue sur sa lancée de la seconde moitié de Negima!: l'ecchi laisse de plus en plus la place au nekketsu, et les scènes dénudées aux combats et entrainements. Bon il en reste un peu quand même, on ne change pas sa nature comme ça 😉
Sinon on retrouve les mêmes archétypes de personnages. Evangeline fait son retour (normal vu son immortalité), on retrouve un/une samurai (running gag) qui se retrouve régulièrement à oilpé, des figures paternelles super fortes, des rivalités, des caméos (une descendante de Misora, elle aussi nonne), etc...
C'est plutôt efficace, et étant grand fan de l’œuvre d'akamatsu j'aime bien ces références plus ou moins explicites, c'est très nostalgique comme sentiment (et bordel, ça fait 12 ans tout pile depuis que je trainais sur les forums de fans de Negima :omg: )
-All you need is Kill.
Le manga tiré de la light-novel qui a inspiré Edge of Tomorrow, film que je n'ai pas vu.
Un petit côté Un jour sans fin guerrier et dystopique où un soldat revit sans cesse la journée qui l'a vu mourir, jusqu'à ce qu'il évolue pour enfin survivre aux évènements.
Le seul vrai problème du bouquin je trouve, c'est qu'étant en seulement deux volumes il rush pas mal de choses, le mec passe d'incapable à surentrainé en une vingtaine de pages et toute la découverte de la mécanique est sautée. C'est dommage parce que c'est pas mal, dans l'ensemble.
-Coffee Time
Je crois que j'avais rien lu de l'auteur encore. C'est le genre de mec à la mode, que ça fait bien d'adorer et primer dans les festivals (comme Taniguchi par exemple). Mais perso ça me laisse un peu de marbre.
Donc là c'est une sorte de recueil de nouvelles qui tournent autour du café, ou de gens qui boivent un café à un moment ou à un autre. Ce n'est pas si mal pour certaines, comme cette violoncelliste qui se fait sans cesse arnaquer par un mec mythomane. Sauf que la grande majorité des chapitres tombent dans le surréalisme, c'est vraiment dommage, j'y suis plus hermétique.
Mais le vrai problème du recueil c'est que son format (1 chapitre = une histoire) ne permet pas d'approfondir les univers. Même quand ça parait intéressant. :huh:
Edit: ah puis ceux que j'avais oublié la fois d'avant:
-Akame ga kill
Très classique. Trop classique, mais efficace. Ça reprend le combo adolescent perdu mais super fort/pris sous l'aile d'un groupe encore plus fort qui combat les méchants/aidé par une Battle Girl (la Akame du titre).
Pas mal de sanquette pour la cible, c'est un peu la seule spécificité (et encore).
-Kaze no Sho:
Tiens, de taniguchi dont je parlais plus haut :think:
Bon là c'est une histoire historico-romancée qui met en scène Yagyu Jubei dans un scénario mêlant intrigue politique contre les Tokugawa et combat de ninja/samurais.
Pas grand chose à dire, c'est propre mais en même temps je me suis fait chier. L'univers historique n'est pas assez approfondi (c'est un one-shot), et les combats pas intéressants.
Il me semble que c'est tout, pour le moment :hehe: