J'ai bien avancé, j'amorce tout juste le chapitre 13 avec 44 heures de jeu.
Bordel, le chapitre 12... C'est quand même une sacrée petite bouffée d'émotions. Même s'il y a certaines situations auxquelles on s'attend ou qu'on appréhende quand on a évidemment fait le jeu de 1997, je ne peux m'empêcher de ressentir des émotions pour les personnages, notamment les secondaires d'Avalanche qui laissent suffisamment de temps pour s'attacher à eux avec les mises en scène brillamment exploitées dans la narration.
J'ai particulièrement apprécié ce chapitre ^___^
[spoiler]Des choses qui m'ont un peu bouleversé, comme la perte de Biggs et Jessie rendus plus humains que jamais jusqu'alors et ne faisant plus office de simples figurants comme dans le jeu original...
L'évacuation du Secteur 7 où on prend le contrôle d'Aerith pour sauver Marlène au Septième Ciel (une petite partie de l'envers du décor bien exploitée qui aide à mieux cerner les enjeux, et j'espère qu'il y a d'autres trucs comme ça)...
Sans parler de ces mystérieuses entités volantes encapuchonnées qui font parties des nouveautés du scénario...[/spoiler]
Bref, c'est vraiment chouette et je suis assez conquis pour le moment ! C'est clairement une lettre d'amour et de nostalgie adressée aux fans.
Par contre, il faut bien l'avouer, il y a pas mal de longueurs au niveau de certains donjons (les événements du Réacteur nº5, le Secteur 6 avec les bras robotisés, Don Cornéo, le Cimetière des trains...).
Parfois ça exploite le lore et ça approfondit les personnages pour mieux les développer, et parfois ça traîne en longueur comme pour allonger artificiellement la durée de vie.
Certaines de ces longueurs ont le mérite de mettre en avant certains mobs un peu rares à rencontrer dans le jeu d'origine, au point d'en faire des boss.
[spoiler]Tels que la Maison Infernale ou Eligor.[/spoiler]
Et les combats de boss ont vraiment le chic pour être épiques, malgré leurs longueurs (bis). XD