The Artist met en avt avt tout un esthétisme perdu, avec l'émotion qui s'en dégage, aux travers, aux moyens, aux plans et montages propres au Cinéma, écrit sur pellicule, sur pellicule d'écriture. Le scénario en est pour ainsi dire absent (mais se jouant, tout le long, à développer l'apogée du cinéma muet..), l'expression matérielle et du matériel le supplantant, comme on supplante au décor un objectif à serrures, comme la bande est d'ultra-son. Ce qui n'empêche en rien le ressenti et l'émotion, ce que la magie est au genre, et valant au film, sa réussite, comme il est réussi. J'aime aussi les films aux intrigues ficelées, au scénar travaillé, mais il s'agit là, pour se faire, d'une autre Approche, intimiesque, artrinséquement art-tistique, de l'intérieur même, au delà de, un noir et blanc resté ds sa boite, qui passe par la lorgnette comme on y rentre, et qui, malgré sa "triste" apparence désuéte, regorge de sons et de couleurs.. Un ticket pour le rêve au participe passé, des intérieurs semblables comme des non-dits qui se font nos échos.
( :wub🙂