Je ne veux briser les rêves de personne, mais draguer les filles sur un chat gay, ça mène jamais bien loin...
Et la logique circulaire?
Agir à contrepied pour arriver à ses fins, ca se tente...
Exemple: A Toulouse, il existe une boîte de nuit qui porte le doux nom de Shanghai. Il y a quinze ans, c'était ouvertement le rendez-vous homosexuel (surtout masculin) du tout-Toulouse (tiens, c'est marrant à prononcer, ca, "tout-Toulouse"... héhéhé).
Il y a également d'autres boîtes à Toulouse où comme de bien entendu, des esprits du rut incarnés dans des êtres humains cherchent à assouvir leurs bas instincts auprès de demoiselles statistiquement moins consentantes qu'aguichées.
Conséquence logique, les nanas sus-mentionnées se sont mises à fréquenter le Shanghai, histoire d'enfin pouvoir profiter d'une boîte de nuit pour ses vertus premières (à savoir la musique, l'ambiance festive) et sans se faire draguer par les mecs en présence, étant donné qu'ils étaient déjà affairés avec les mecs en présence.
Deuxième conséquence logique, les mecs se retrouvant comme des ronds de flan dans leurs premières boîtes ont bien du finir par se rendre compte qu'elles étaient désertées en faveur du Shanghai. Pas décidés à lâcher l'affaire, en bons prédateurs ils partent suivre la proie même sur terrain défavorable.
Ainsi, à Toulouse, il n'est pas rare de voir des garcons hétéros prendre le chemin d'une boîte gay dans l'espoir de serrer.
Pourquoi pas la même logique inversée sur un chat?
shizu, mais ne vous en faites pas, le sous-sol et ses backrooms restent men-only