Non mais t'es pas obligé de te forcer hein. Laisse donc ces DLC tranquille, ne te fais pas mal, et épargne nous ton avis que tu t'es déjà forgé d'avance. PLS ELINCIA.
Bon article de rageux condescendant sinon.
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Si Infinite répond au pourquoi, il oublie en cours de route la question par excellence à laquelle doit répondre la fiction si elle veut être crédible : comment. [spoiler]Comment les failles temporelles ?[/spoiler] Comment la cité dans le ciel ? Comment vivre à Columbia ?
Outre le fait que comme l'auteur le dit lui même tout est expliqué dans le jeu, au bout d'un moment faut accepter l'univers qu'on nous présente sans en demander trop, d'autant que ce genre de critique peut se formuler à la plupart des univers vidéoludiques voire de fiction.
Je veux dire, ou nous a jamais dit comment Lucca avait fait pour construire sa machine à voyager dans le temps dans Chrono Trigger alors qu'elle vit en l'an 1000 hein.
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Je te sens un peu vnr. Je me suis pas forgé un avis d'avance, j'ai des appréhensions c'est tout, mais je suis pas trop con et je sais faire abstraction en jouant. Stay cool.
Pour l'article, tu t'es arrêté sur le seul truc qui n'a aucune importance dans la critique. Perso je m'en fous du comment, en plus c'est expliqué dans le jeu oui. Le cœur de l'article c'est plutôt la dissonance ludo-narrative extrêmement forte, l'éparpillement, l'enchainement des thèmes comme on enfile des perles sans jamais développer, une représentation ultra caricaturale des noirs qui ne s'accompagne pas d'ironie ou d'une satire qui mettrait en évidence l'absurde (non mais le personnage de Daisy, cte farce, c'est insultant) et des irlandais ; le propos qui au final dit que la révolution, prendre les armes sous l'oppresseur, bah c'est pas si bien que ça en fait, et qu'il faudrait que tout le monde soit Gandhi. Puis la rengaine du pouvoir aliénant, ça va 5 secondes après B1, on a pigé. Sans compter les artifices de prestidigitateur que Levine nous balance à la face pendant toute la narration pour cacher les faiblesses de son récit. Sérieux les failles temporelles c'est un des ressorts les plus vieux du monde, digne des séries B à la Code Quantum, et au même niveau que l'amnésie. C'est paresseux, en plus d'être un nid à incohérences. D'ordinaire j'aime bien le voyage dans le temps, mais c'est tellement fait par dessous la jambe ici... C'est de la surprise à peu de frais, le jeu cherche à t'en mettre plein la vue sans te convaincre. Il veut se montrer plus fort que le joueur au lieu de le prendre avec lui. Celui qui est condescendant, c'est Bioshock Infinite.