Non ma "critique" de TLoU sur SC est très courte et ne rentre jamais dans les détails. Tu peux aller la lire si tu veux (jsuis pas dur à trouver sur SC : tu tapes imiduno the last of us sur google et t'es bon).
Les relations humaines = Joel & Ellie. Le reste, je m'en fous à vrai dire. Et le jeu aussi.
Mais justement, leur traitement père-fille, la brutalité des situations (école / neige / fin), la puissance des dialogues, les retrouvailles… Tout est si viscéral que moi, rien que d'y penser, ça me retourne. Surtout depuis que je suis père (ça décuple le ressenti, je te jure).
Et cette FIN ! PUTAIN CETTE FIN !
Il te prend, te retourne et te pose là ! ET TAGGLE C'EST COMME ÇA. Impossible de s'y attendre. Et en même temps, c'est tellement logique… Et pour une fois qu'un jv prend le parti pris de l'humain au sens personnel du terme, et qu'il en oublie les clichés du bien et du mal, moi je dis chapeau bas.
C'est pas fou.
C'est juste.
Et c'est là qu'il démonte tout. Il ne t'en fout pas plein la gueule. C'est pas Uncharted. Il te dit juste : taggle. :decayed:
On peut ne pas être sensible, mais moi, c'est justement ce que j'aime.
Le même traitement que dans Red Dead Redemption et ses 3 dernières heures de malade. Cette finesse et brutalité à la fois… C'est ça qui me parle. 🙂
J'ai fini le jeu, je savais pas trop quoi penser. C'était ni fou, ni génial.
Et c'est le temps qui m'a fait penser comme ça et pourquoi je te sors ce genre de post. C'est qu'il a réussi à m'infiltrer complètement, sans que je le sache.
J'ai presque versé une larme lors du trailer de TLoU 2, rien que parce que cet aspect visceral me travaille encore aujourd'hui et qu'ils savent l'utiliser. Vas le voir tiens, maintenant que tu as fini le 1, grand moment ce trailer (alors que tout simple).