Platiné Fallout 4.
Après l'avoir revendu assez vite par déception vis à vis de ce que j'espérais, je lui ai redonné sa chance quelques mois plus tard, sachant cette fois exactement ce qui m'attendait, et j'ai plutôt bien fait.
Passé le manque de profondeur des dialogues et le peu d'implication que j'ai ressenti pour l'histoire en général, j'ai pas vu les heures défilées à me balader dans le Commonwealth, à vaquer à droite à gauche en suivant les différentes quêtes (pas si variées que ça, certes) impliquant souvent une bonne grosse fusillade bien grisante.
Et franchement, c'est pour démonter des goules et autres super-mutants et sentir la puissance des armes en mains, boostées de compétences spéciales et fabriquées de mes mains, que je l'ai repris.
Sans prise de tête donc, mis à part que j'ai un peu foiré le timing des sauvegardes à garder pour éviter de refaire une ou deux parties pour avoir les plusieurs dénouements,ce qui m'a forcé à refaire quelques missions.
Certains persos sont attachants, d'autres complètement anecdotiques, mais ça reste plaisant d'être suivi d'un acolyte avec qui la relation évolue, et qui sert souvent d'appât et de bouclier 🙂
Et le DLC Far Harbor rectifie bien le tire sur les défauts du jeu de base et contient à peu près tout ce que je voulais y trouver à la base. J'ai pris mon pied sur les grosso modo 10 heures que j'ai dû passer dessus, sacrée bonne ambiance !
Bref, 90h plus tard, je peux affirmer qu'on s'éloigne certainement de plus en plus de l'essence des premiers Fallout, mais si on y va pour ce qu'il est, on a pas fini de faire couler le sang à flots.