Sur la compile Castlevania Requiem. Je profite d'une petite pause après avoir fait une partie de SotN en me concentrant sur RoB pour comprendre le lien entre les deux épisodes, avant de revenir sur le premier pour le finir et le compléter.
Ça fait plaisir de découvrir Rondo of Blood, l'épisode précédent le sublime Symphony of the Night.
Jeu d'action/plateforme typé arcade oblige, c'est une autre paire de manche question difficulté. Le jeu est assez punitif et très peu permissif, mais pas insurmontable non plus. Le timing est fondamental pour passer les différents tableaux. Huit au total, mais se ramifiant en plusieurs routes en fonction des passages qu'on emprunte, parfois secrets. Ce qui mène à des bosses cachés et à d'autres nouvelles routes sur les niveaux suivants, même. Et je trouve ça assez cool pour l'époque. Mais ce que je trouve vraiment classe dans ce jeu, ce sont les cinématiques 2D de style manga mais avec des animations scrolling d'images bien foutues, ainsi que la mise en scène des combats de boss. Pour trouver un poulet rôti, amuse-toi à casser des blocs. Faut vraiment se démerder et bien fouiner pour survivre, en plus d'avoir du skill, surtout.
Je vais prier pour pas que la Dual Shock 4 ne s'écrase pas quelque part dans mon salon suite à un vol de perte de contrôle. Ce serait con de niquer une manette pour ce jeu, mais il faut dire qu'il ne fait pas cadeau. J'avais oublié à quel point les jeux d'avant (en l'occurrence pour celui-ci, de l'époque de la PC Engine) étaient super durs en comparaison aux jeux actuels voire de la dernière décennie.
À côté, j'ai repris Assassin's Creed Odyssey. J'avais choisi la jeune femme parmi les deux personnages jouables, Kassandra. Et c'est assez sympa, ça me détend. J'avais fini le prologue en faisant l'île natale de l'héroïne de fond en comble tout en me familiarisant avec les contrôles et l'aspect RPG, ce qui m'a pris une bonne quinzaine d'heures à tout casser. Maintenant, on peut vraiment dire que l'aventure commence. J'ai tendance à privilégier les armes d'hast dans les combats, mais une bonne dague et un bouclier de temps en temps font aussi l'affaire. Certaines armes sont plus efficaces contre certains ennemis, suivant la vitesse d'attaque et la portée. J'essaie surtout de me la jouer infiltration autant que possible quand la situation le permet, ça facilite la vie. Je navigue aussi pas mal dans les mers pour des combats entre navires, où le côté RPG est également présent mais moindre. Ce qui est bien, c'est qu'on a des fourches de niveaux recommandés indiquées sur les portions définissant les régions de la carte du monde, de de la Grèce Antique, et les ennemis ajustent leur niveau au notre. Je m'amuse à explorer, laissant l'avancée de l'histoire au second plan. C'est le risque avec ce genre de jeu, haha !