Tales of Berseria.
8h seulement au compteur mais je le sens bien. Là où Zestiria ne m'avait pas particulièrement marqué et même plutôt laissé de marbre (bien qu'il ne soit pas mauvais), Berseria réussit à m'accrocher dès les premières minutes notamment grâce aux arguments imparables de Velvet : ses boo... euh, son charisme, son caractère, son apparence et le fait qu'elle soit très sombre. Bien aimé le petit prologue jouable au début, c'est assez rare finalement qu'on nous dévoile aussi vite pourquoi un tel perso est aussi sombre, et ça nous permet de nous attacher à elle plus rapidement. Le système de combat (raté à cause de sa caméra dans Zestiria, imo) est comme souvent dans les Tales of, vraiment bon et je prends mon pied dessus alors que j'ai pas plus de 2 perso pour l'instant; et la difficulté la plus haute dans le menu convient très bien, ni dur, ni trop facile, pour l'instant c'est le juste milieu.
Le scénario démarre pas mal, trop tôt pour se prononcer mais les quelques perso rencontrés n'ont pas l'air mal non plus.
Les musiques de Sakuraba sont étonnamment bonnes (comprendre que je les trouve pas aussi génériques que d'habitude sur les Tales of), jusqu'ici chaque piste m'a plu, prière que ça continue sur cette lancé.
Graphiquement ils ont bien réduit leur retard, on se croirait vraiment en milieu d'ère PS3 :lol: non sérieusement, les environnements, les couleurs et les effets climatiques sont très jolis, dommage qu'aucun effort ne soit fait par exemple sur les herbes, les poils des animaux et les surfaces en tout genre. La modélisation des perso est très correcte également.
Mes reproches vont juste à Magilou, j'espère qu'elle meure à la 9ème heure, elle est insupportable et faut que je baisse le son de ma télé à chaque fois qu'elle parle, aux aller-retours dès le commencement du jeu, et au spoiler que je me suis pris en regardant la liste des trophées non cachés, c'est moche ...