Bethesda style, les dévs sont donc toujours incapables de livrer un open world fini, sans bug et bien pensé.
Et offert aux joueurs, pendant qu'on y est ?
Oui, l'époque est formidable parce qu'on a des jeux d'une ampleur toujours plus impressionnante, et, dans le cas de bugs, de problèmes, d'améliorations possibles, il y a la possibilité de corriger et d'améliorer. Il y a vingt ans, quand on avait un jeu, c'était figé dans le marbre, interface de merde ou non (et je ne parle même pas des problèmes de bugs).
On parle tout de même de jeux d'une taille colossale, aux interactions extrêmement nombreuses, avec des budgets importants (qui nécessitent donc une date de sortie), et qui sortent dans des états tout de même plus que propres. Et il y a une telle production de jeux, à des prix extrêmement compétitifs, ce qui permet de patienter très facilement avant de se lancer dans l'importe quel jeu pour qu'il soit mis à jour pour corriger quelques détails.
Du coup, quand je regarde ce qu'on a gagné (des jeux toujours plus impressionnants et vastes, la possibilité de corriger des problèmes après coup, une production pléthorique, des tarifs très compétitifs), par rapport à ce qu'on a perdu (une finition un peu moindre ? même cela, ça se discute ; des politiques moins aberrantes - DLC cheval et compagnie -, qu'on peut globalement esquiver sans perdre d'intérêt aux jeux), je me dis que la situation est quand même pas dégueulasse.