Si ça peut t'apaiser, je t'invite à lire ce texte assez intéressant. On être ou ne pas être d'accord avec la thèse dévelopée, mais ça jette une lumière instructive sur la singularité de sin psyché et de son mode de vie.
ok pour l'article, je le lirai posément plus tard. (le taf m'attend, la fête du cinoche, l'envers du décor, là encore...) mais tu as bien noté que mon post précédent allait au-delà du procés Mickael. A mes yeux, fatigués de ce battage incessant (l'hommage rendu par "notre" première dame de france, "l'avant et l'après Mickael"... copyright?, no soucis!), il reste louche, double, déséquilibré à mes yeux mais en état de présomption d'innocence ou de culpabilité, pas moins, pas plus,...
Les sujets "excessifs" (pourquoi pas, mais pas obligatoire), en pleine "évolution"de leur avatar (là, ça peut faire peur), se prêtent à d'innombrables interprétations. Leurs excentricités et leur part d'ombre sont souvent plus éblouissantes et plus sombre que la moyenne. Leurs volontés de se griser, de se surpasser et de NOUS surprendre laisse entendre une relation bilatérale fiévreuse entre eux et leurs public... Processus zarbe: le public donne naissance à une Idôle et l'Idôle se donne en retour à son public. Une liaison pouvant rapidement tomber dans le cauchemar passionnel.
Le VERITABLE artiste posséde, en lui, ce petit quelque chose qui le rend différent de nous. Il nous est supérieur, artistiquement parlant, et c'est pourquoi nous l'admirons. Le danger serait d'en être aveuglé au point d'accepter ses pires aberrations, faites ou dites, en dehors de ce contexte artistique.