Eh bien... Hargneux, le père Chavez. L'intervention de Zapatero et de Juan Carlos me semble plus que justifiée, même si leur argumentaire est aussi pauvre qu'absurde: plutôt que d'essayer de démontrer qu'Aznar n'avait rien d'un fasciste (ce qui n'aurait pas été spécialement difficile), affirmer que l'on ne peut qualifier un chef de gouvernement démocratiquement élu de "fasciste" est un peu idiot. Il y a déjà eu par le passé, en Europe même, des chefs de gouvernement d'extrême droite élus démocratiquement (selon les critères occidentaux, s'entend).