J'ai commencé la série des Dragon quest et on m'a conseillé :
le 4 parce qu'il rassemble toute les bases de la série.
le 5 parce qu'on suit le héro depuis l'enfance jusqu'à l'age adulte
le 8 ou 9 parce qu'ils marquent un passage dans l'histoire de la série où elle se modernise.
Pour l'instant le 4 est potable sauf que je sais pas qui a eu l'idée lumineuse de ne pas donner de skills aux guerriers...
J'ai fait ce choix de découvrir la série car il est important pour moi de connaitre les bases du rpg et comment il a évoluer au fil du temps.
Si tu veux vraiment voir l'évolution, autant commencer par la première trilogie. Là elle est vraiment visible, et au 3 tu trouve à peu près tout ce qui constitue l'ADN de la série. La suite c'est surtout des améliorations dans la façon de raconter une histoire, et du peaufinage sur les mécaniques de jeu. 😉
Sinon les must-do sont surtout le 5 et le 8. Le 5 pour son scénario excellent et quelques à côtés, le 8 parce qu'il est tout ce qu'un JRPG devrait être (et qu'on a quasiment pas retrouvé depuis). Le reste est dispensable, même si ce n'est que mon avis.
Quand à la modernisation apportée par le 9, c'est uniquement les côtés les moins reluisants:
L'aventure de DraQue IX est plutôt agréable, et surtout longue (bien que répétitive) avec les annexes. Les persos à créer sois-même posent en effet le problème d'un manque de background comme d'intervention dans l'histoire, mais couplé au meilleur système de classes de la série, très complet , personnalisable (et qui devient même stratégique) on a tôt fait de ne plus y penser.
Cela dit le décorum est à vomir. Entre les invectives de la console à télécharger de nouvelles missions (rien de mieux pour sortir du jeu), la myriade d'accessoires inutiles pour maquiller ses persos et surtout les ignobles pubs qui tentent de faire passer cette série plutôt austère et traditionnelle (habituellement réservée chez nous à un public de niche) pour un jeu hyper tendance, branchouille pour la jeunesse dorée, Yuji Horii doit se retourner dans sa tombe.
Sauf que lui même en est responsable.