Petit retour à la source... musicale.
Le pére légitime du taping n'est autre que le sexagénaire Steeve Hackett himself, le deuxiéme lead de Genesis (sa premiére prestation studio en 71 sur morceau "the return of the Giant Hogweed (et peut-être Magical Box?... en deuxiéme couche dessus claviers de Banks?).
En écoutant son dernier double album live en date(2011!, malgré certains morceaux un peu gnangnan, faut l'avouer..., pour ne pas dire pépére, ce qui n'est pas pour me déplaire, parceque j'en suis encore conscient et que j'apporte cette critique, héhé!), il n'a rien perdu de sa superbe...
Une dextérité concoctant savemment technique OPPORTUNE et émotion maitrisée, un tout saisi de nuances, le tout sans trop charger, préservant ainsi l'intact véridique performance et son ingéniosité d'exécution parfaite toutes empreintes d'émotions qui permettent à l'intelligence des images de véhiculer distinctement, véloces ou volubiles, brutes ou solubles.
Bref, immersif et Brasse et Papillon!
Eh oui, peut-être aveuglément, je continue d'aimer Steeve Hackett comme un con, ...même si je n'aime plus tout...
Nosnosstalgie, quand tu nous tiens par les couilles, même(surtout?!) quand elles ne serviront plus, ce sera toujours agréable de l'entendre, et de se l'entendre dire..., comme persuasion, alors que forcément, il y a des bémols, comme de bien entendu, surtout chez ceux qu'ils ne l'ont pas aussi longtemps connu!...
Aprés réflexion, c'est du cerveau que ça part et s'en revient, principalement, alors c'est bien de rester là!
L'objectivité ne rime pas toujours avec passion, si tant est qu'elle le soit...
Une duo-congratulation entre Hackett et moi, qui se sublime, malgré l'espace et le temps, toujours indemne, ...surtout grâce à lui, faut reconnaître(!).
Un "matériel" d'émotion, et plus si affinités, entre fan et artiste, rien de tel pour entrer dans son monde persistant et le mélanger au mien!
Please Don't touch and don't "Hackett-up to pieces"!