Ben je sais pas, moi je me date sur la date où j'ai eu les jeux, c'est mon top de ma décennie quoi.
- Je vais d'ailleurs en faire de même, pour mon top 10 de la décennie:
1) Shenmue I et II : la série qui aura su hisser le jeu video, au rang d’œuvre d’art tout simplement.
2) Shining Force 3 scénario 2 et 3 : imaginez ma joie, de pouvoir vivre pleinement la fin de cette formidable épopée, au travers d’un remarquable travail de traduction anglaise (et que l’on doit à l’équipe de passionnés du site Shining Force Central)
3) VF5 : fidèle compagnon de route depuis les débuts de cette grande lignée, en matière de pugilat virtuel sur la défunte Saturn, ce Vème épisode en est fort logiquement l’aboutissement ultime.
4) MGS 3 : The Boss, un personnage dont la seule présence, suffit à hisser MGS 3 au rang de chef-d'œuvre.
5) Soul Calibur : je ne compte plus les heures passées, à aiguiser la fine lame de Hwang, jusque dans ses ultimes retranchements. Afin de pouvoir livrer des duels d’une dramatique intensité. Et malgré leur excellence, ses successeurs n’ont jamais pu, m’offrir de revivre de tels moments.
6) NBA 2k11 : la simulation ultime de basket nord américain.
7) Virtua Tennis II : je me rappelle encore de ce terrible match avec un quintuple tie-break qui opposa mon Rafter face au Henman de mon petit frère, sur le ciment nord-américain. Que j’ai hélas perdu sur une double-faute,…
8) Suikoden : le premier épisode d’une saga mythique, et dont la redoutable simplicité fait toute sa grandeur.
9) Suikoden V: un opus dont le retour aux sources, ne manquera pas d’évoquer immanquablement le fameux Suikoden II. Mais qui pour ma part, parvient finalement à lui voler la vedette. Le meilleur rpg que j’ai joué à ce jour sur la PS2.
10) MGS II: malgré ses délires psychédéliques à l’approche du terme de l’aventure, et ses milliers de pages de dialogues indigestes, ou encore des bad guys bien peu charismatiques (Fatman, franchement,…), ce second épisode parvient une nouvelle fois à tirer son épingle du jeu, grâce à une intrigue qui reste malgré tout de haute volée, une réalisation technique bluffante pour l’époque, des compositions musicales magistrales, et enfin un gameplay aux petits oignons.