Ouais enfin sois honnête, un jeu de la même qualité qu'on te file today sans le nom FF, tu y touches ? J'en doute franchement. En tout cas son nom lui donne une surexposition.
Pareil pour DQ où je compte me faire tous les épisodes à partir du premier,Suikoden aussi,BoF,etc...
Ouais, mais en attendant ça a été FF1 avant le reste.
C'est pas une critique, juste un constat, faudrait arrêter de victimiser une série qui profite largement de son nom.
Faut bien commencer par quelque chose, dans les "épisodes 1" :p.
Plus sérieusement, je pense aussi, notamment pour les joueurs qui ont un certain nombre de RPG derrière eux, qu'il y a une forme de curiosité à découvrir de grands classiques "historiques" qu'ils n'ont pas faits, ne serait-ce que pour voir ce que ç'a pu être, par rapport à une forme de culture d'un genre. Du coup, on me file aujourd'hui un jeu de la qualité de FF1, je risque de tiquer s'il n'y a aucune raison historique à y jouer (même si la vague "nostalgique" a un rôle à jouer ici), là où je vais être curieux et au moins faire quelques heures sur ces jeux qui ont contribué à l'histoire d'un genre (j'ai dû jouer sept, huit heures sur FF1, quelques heures sur DQ1, même si je doute aller au bout un jour : j'ai pu me faire une idée de ce que cela donnait, ai ainsi acquis une forme de culture historique).
Pour la question de victimisation, s'il faut reconnaître que c'est un regard assez étrange - voire malvenu -, force est de reconnaître que le nom d'un jeu fait que nombre de joueurs présupposent quelque chose, et ont du coup - consciemment ou inconsciemment - un regard biaisé sur le jeu en lui-même. A partir de là, on se retrouve, dans la démarche critique, face à un exercice à mon sens particulièrement ardu, d'autant que l'impact est je trouve assez antinomique : si le nom du jeu va faire vendre (série qui profite de son nom, comme tu dis, Medion), il va potentiellement cristalliser des critiques par effets de références, sans pour autant que ces critiques empêchent le jeu de se vendre, peut-être car elles ne sont en partie justifiées que par cet effet de comparaison avec les autres titres de la "marque".