Gros carton rouge à Falcom pour Sen no kiseki 4,
j'ai atteint le point culminant de l'écoeurement face à tant de médiocrité scénaristique, je n'en peux plus.
Je ne poste pas souvent, mais je tenais à partager mes impressions sur le dernier épisode, qui nivellent la série encore plus vers le bas.
Je ne vais pas m'étendre sur le sujet car il est difficile de parler de tout ce qui ne va pas sans spoiler (et ce n'est pas l'envie qui manque),
mais j'en suis rendu à un stade où j'estime que les scénaristes se foutent ouvertement de ma gueule (je n'ai pas encore terminé le 4,
mais je pense atteindre les 100 heures avant d'espérer terminer ce calvaire. C'est très long).
C'est mauvais, il n'y a pas d'autres mots. l'écriture est datée, médiocre et sombre dans la facilité la plus totale.
Sen no kiseki IV est une farce (amorcée par le 3 bien entendu, mais là c'est pire).
Le dernier "grand" tournant scénaristique m'a fait mettre ma tête entre mes mains et soupirer un truc du genre "mon Dieu..."
En fait la seule qualité qui lui reste est le système de combat. C'est ce qui m'a fait tenir je pense.
NB : Le 1 et le 2, passaient encore. J'ai toujours trouvé les sora et Zero/Ao supérieurs, mais bon, malgré leurs défauts,
les 2 premiers Sen no kiseki tiennent la route. Par contre, J'avais toujours un peu de mal avec les maladresses de narration répétées
à l'infini ou des clichés shônen surutilisés : les combats de boss qui se finissent TOUJOURS par l'intervention d'une
tiers personne pour sauver le groupe, les protagonistes alliées et ennemis qui se congratulent entre eux à chaque combat
(combats se finissant d'ailleurs toujours de la même manière, c'est à dire par la énième téléportation des antagonistes),
les personnages qui commencent toujours leurs phrases par des gloussements ou des rires systématiques et franchement
agaçants sur la longueur, les ennemis qui observent toujours le groupe de héros du haut d'un toit/montagne/rempart, et
cetera, et cetera... Tout ça répété et répété, et répété...
Dans Sen 3 et 4, c'est pareil (voire pire), et là ça ne passe plus du tout.