Platine sur Resident Evil 4 Remake.
Un platine long qui peut s'avérer complexe en fonction des trophées qu'on combine par parties. Pour ma part, je l'ai fait en 7 parties. 3 longues premières dédiées à la connaissance du jeu, deux en professionnel, dont une sans avantages où j'en ai quand même chié mais dont la connaissance du jeu et la familarisation avec la parade du couteau m'ont bien aidé. Les dernières parties j'ai rushés, suant un peu car le speedrun n'est pas mon fort mais ça reste un minimum accessible. Le stand de tir avec les pirates a été un des trophées les délicats, et enfin les speedruns en moins de 5h30 en hardcore et en moins de 5h00 en standard pour le rank S+. Pas testé en pro pour le S+, car j'avais déjà plus d'une centaine d'heures à mon actif et je voulais passer à autre chose, et ce dernier challenge ne compte pas pour le platine, mais je le ferai un de ces quatre. Un des RE où j'ai passé le plus de temps, et ce dès sa sortie. Le jeu possède une excellente rejouabilité et un nombre impressionnant d'armes à feu. Il devient jouissif lorsqu'on commence à maîtriser la parade au couteau, élément fondamental de la survie.
Platine sur Dead Space Remake.
Commencé à sa sortie et laissé de côté alors qu'il me restait juste un trophée, celui de finir le jeu avec seulement l'arme de base qu'est le Cutter plasma. Pas spécialement compliqué ce dernier, vu qu'on peut le faire dans la difficulté de son choix, pour ma part ce fut en difficulté moyenne pour un minimum de challenge. Le vrai défi du jeu est de le finir en difficulté Impossible, qui est l'équivalent de Difficile à la différence qu'on a qu'un fichier de sauvegarde, qu'on ne peut sauvegarder la progression que manuellement car absence de chekpoint oblige, et que le paramètre mort permanente s'applique en cas de mort. Une connaissance parfaite de l'emplacement des ennemis et de l'exploitation de l'environnement est essentielle pour la réussite de ce défi. J'ai utilisé la majeure partie des armes, surtout le Trancheur, le Choc laser et le Mega-PK qui me paraissent ultra-pétés et salvateurs à bien des occasions. Sauf le lance-flammes qui ne vaut pas un clou.