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Kessketavu ? (Version Anime)


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5788 réponses à ce sujet

#5776 Ragna

Ragna

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Posté 31/10/2019 - 15:20

Histoire de replonger dans l'univers riche de la Compilation FFVII, vu que j'ai fraîchement refait FFVII sur PS4, je me suis (re)maté hier Last Order, l'OAV de Denzel, Advent Children, et les cinématiques en images de synthèse de Dirge of Cerberus via une sorte d'OAV dédié. Le tout donc visionné dans l'ordre chronologique. C'est ça de replonger dans l'univers du VII, haha ! 

 

- Last Order -

OAV d'une vingtaine de minutes retraçant des événements-clés du jeu original, à savoir les événements de Nibelheim et de la fuite de Cloud et Zack du SOLDAT. C'est produit par Madhouse, mais ça a pris un coup de vieux. De plus, je n'apprécie que moyennement le chara-design et la panoplie de couleurs donnant un contraste terne, comme la plupart des prod' de ce studio d'animation, du moins à l'époque de sa sortie. Ça ne m'a pas m'empêché de revivre ces moments importants de l'histoire qui se croisent à la fois dans le jeu de base et dans sa préquelle qu'est Crisis Core. On n'apprend pas des masses sur la trame plus que ce qu'on connait déjà, mais on a une sorte de perspective plus ou moins différente, nous permettant de revoir les mêmes événements épiques et tragiques d'un autre point de vue. À noter l'apparition brève d'une poignée de Turks, mais ça reste magrichon et certains se retouvent dans Crisis Core. Ça reste néanmoins assez fidèle dans les grandes lignes. Sympathique pour se faire un petit rappel de cette sombre époque du jeu, mais loin d'être transcendant ou riche en données. 

 

- On the Way to a Smile - 

Ainsi s'intitule cet OAV de 25 min mettant en scène Denzel, qui se déroule chronologiquement juste avant Advent Children. Fait plutôt surprenant : il n'y a pas une seule scène action, seulement et principalement l'histoire de Denzel durant certains événements au début et à la fin du jeu de base. Le garçon raconte ses souvenirs douloureux à un homme, comment il s'en sortait dans les taudis de Midgar (lieu où se déroule principalement l'intrigue). On n'en a apprend pas forcément plus sur l'histoire, mais, sans vouloir spoiler, on y découvre un peu plus sur l'univers de ce qui se passait à Midgar pendant que nos héros (pratiquement tous absents de cet OAV) étaient affairés ailleurs pour la quête principale. Un peu l'envers du décor dirais-je, narré de façon dramatique et quand même émouvante alors que poutant ça part de rien. On peut dire que Denzel est le héros de ce court métrage assez particulier. J'ai un peu mieux apprécié que le précédent, notamment pour le graphisme général, et puis ça a le mérite de se replonger dans Advent Children par la suite. 

 

- Advent Children

Le plus gros morceau de cette série de visionnage, surtout en visionnant la version longue (2h00), ce qui est le cas. J'avais découvert ce film d'animation avec la version courte standard (1h30-1h40), et bien qu'il y ait des scènes raccourcies, manquantes et censurées, c'est juste suffisant pour comprendre l'histoire dans les grandes lignes. Histoire qui se déroule deux ans après le jeu principal. Mais je recommande fortement la version longue qui montre tout et permet de voir des à-côté enrichissant un peu plus le scénario et rendant des scènes bien plus cohérentes. Que dire de ce AC ? Le scénario fait suite à la chute du Météore et aux traces qu'il a laissées sur son sillage tel un virus, à savoir les géostigmates de Jénova présents dans la Rivière de la Vie. On y retrouve nos héros, principalement Cloud et Tifa qui sont le mieux mis en scène à mon avis, de nouveaux ennemis profitant de la situation de la planète et ayant un but précis. Un prétexte à un sentiment de déjà vu, en quelque sorte, mais en accord avec la conjoncture scénaristique. Pour un film d'animation qui a vu le jour en 2005, il s'agit sans nul doute d'un des plus beaux qui j'ai pu voir et aujourd'hui encore, il n'a pas pris une seule ride. Un vrai régal pour les mirettes. Bien sûr, d'autres têtes connues sont également présentes, à noter un bon traitement sur les Turks (en particulier Reno et Rude) qui en fait savoir un peu plus à leur sujet dans le genre mode de vie. 

L'action est très présente et frénétique, avec des scènes de combat épiques que ce soit en moto, dans les airs ou sur la terre ferme. Et même si c'est totalement surréaliste et que ça dépasse de loin les lois de la physique, il n'en reste pas moins une belle chorégraphie et une animation assez fluide pour l'époque. Une véritable prouesse technique. Denzel est aussi assez mis en valeur, et on peut d'ailleurs faire le lien avec son OAV se déroulant antérieurement via certaines scènes. Le film se veut émouvant par moment, grâce à quelques flashbacks et scènes attendrissantes nous plongeant dans les enjeux dramatiques des conséquences du Météore mais aussi de certaines erreurs du passé. La fatalité est souvent de mise. 

C'est vraiment un film merveilleux, même si, à première vue, il n'a pas l'air indispensable. Mais pour les fans FF7, c'est un vrai cadeau et c'est en partie ce qui a fait évoluer la compilation de ce septième épisode de la saga Final Fantasy. Les musiques restent somptueuses (pour une bonne partie, du moins), dont certaines reprises du jeu original pour les thèmes les plus épiques et connus avec une réorchestration digne de ce nom, même si dans l'absolu elles n'atteignent pas le degré d'excellence des originales. Ça n'en reste pas moins une bonne alternative. Mais, de toute façon, globalement, même si l'univers et l'ambiance sont ultra fidèles et que le script se présente comme une bonne alternative au jeu originel, le film ne peut se révéler aussi impactant et mémorable que le jeu dont il fait suite. C'est ce que j'en tire en tout cas. Et plus je le regarde, plus je m'en convaincs.

 

- Dirge of Cerberus -

Dernier épisode en date de la compilation au niveau chronologique. Ici, il s'agit tout simplement d'une compilation bête et méchante des cinématiques du jeu faites en images de synthèse. Il y en a pour un peu plus d'une demi-heure de visionnage. J'ai l'impression que les cinématiques sont d'un peu moins bonne qualité d'ailleurs que par rapport un jeu, légèrement en déça. Il n'y a que peu d'intérêt à revoir ces cinématiques pour comprendre l'histoire, surtout pour quelqu'un qui n'a jamais fait le jeu ou qui veut juste se contenter de connaître l'histoire sans toucher au jeu, parce que les cinématiques in-game sont assez nombreuses et cela laisse au final un gruyère scénaristique par manque de données. Mais pour quelqu'un qui a fini le jeu maintes fois, comme moi, et souhaite se remémorer l'ambiance et l'univers post-Advent Children, c'est toujours sympa. Petit plus : les voix sont en japonais, contrairement au jeu qui dispose d'un doublage US (je l'avais trouvé pas mal mais sans plus, ayant préféré avoir des voix japonaises). Une scène bonus et quelques trailers le sont dans le propre jeu, mais c'est tout. Je fais partie de ceux qui avaient apprécié cet opus si injustement décrié. Parce qu'il mettait en scène un des personnages du jeu (personnage caché, qui plus est) et permettait de se replonger dans l'ambiance FF7 dans des environnements full 3D. Vincent Valentine, personnage mystérieux et charismatique ayant des liens avec la Shinra mais aussi Hojo et Sephiroth. Avec l'histoire de Lucrécia que j'ai trouvée chouette. J'avais adoré les musiques et tout particulièrement les thèmes de GACKT (Redemption que l'on retrouve dans cette compile au format OAV). 

 

 

Je vais m'attaquer à quelques vieilles oeuvres de Go Nagai dans les jours à venir, pour changer, étant un gros fan du monsieur.


Modifié par Ragna, 31/10/2019 - 15:41.

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#5777 Ragna

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Posté 21/11/2019 - 19:40

Vu Jushin Liger subbé en italien. Une véritable perle de Go Nagai pour un animé peu connu. J'ai adoré ! Après, c'est assez spécial et ce ne sera peut-être pas au goût de tout le monde. Pour l'époque, c'était plutôt original et ça tranchait avec la plupart des productions. C'était bien avant Evangelion
Inutile de m'étaler ici car j'ai rédigé un article tout frais sur mon blog.


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#5778 Ragna

Ragna

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Posté 02/12/2019 - 21:09

Vu à l'instant La Légende du Sanctuaire en VOSTFR, le film d'animation en images de synthèse de Saint Seiya / Les Chevaliers du Zodiaque, paru en 2014. Et... Hum... Comment dire ? Juste comme ça, c'est une blague, ça, non ? J'ai rêvé... ou bien ? Malheureusement, je n'ai point rêvé. U__U

 

Ce film d'une heure-et-demi est l'une des pires aberrations que j'ai pu voir dans ma vie, qui plus est parce qu'il ose reprendre le meilleur arc de la série originale Saint Seiya (puisqu'on parle là de la fameuse  bataille des douzes temples du Zodiaque avec les chevaliers d'or du Sanctuaire, comme l'indique le titre) en travestissant et dénaturant l'oeuvre originale. Mon dieu... Je n'ai pas de mots pour décrire un tel étron. En fait, si ! Beaucoup, mais je vais pas être tendre...

À vrai dire, je ne m'attendais pas à grand chose à la base. Je me doutais bien que ce serait de piètre qualité, seulement là, c'est bien pire que je ne l'aurais imaginé. Pour se situer dans ce film, il faut bien sûr avoir vu au préalable la série originale de 1986, au moins jusqu'à la fin de l'arc du Sanctuaire. Parce que résumer cet arc en 90 min, en faisant des ellipses malvenues et surtout en prenant beaucoup de libertés allant jusqu'à changer le sexe d'un des chevaliers d'or, c'est casse-pipe. Et c'est le cas, mais si encore il n'y avait que ça... Bien sûr, il y a certaines scènes reprises, certains combats avec les mêmes opposants (Shiryu vs Deathmask, par exemple) mais d'autres situations de combat également, et quelques événements semblables à ce qu'on connaît de la série originelle... Mais tout cela est tellement mal mis en scène, si édulcoré au point de mettre aux oubliettes l'intensité et la violence des combats en atténuant voire limitant au maximum l'aspect dramatique et la vue du sang... Le chara-design, je ne vais pas y aller par quatre chemins : il m'écoeure et me file la gerbe. J'avais la grimace presque tout le temps durant le film, tellement j'étais dégoûté par la plastique 3D horrible des personnages arborant un design légèrement proche d'un Kingdom Hearts (pas que j'aime pas KH ou son chara-design, mais là ça colle pas du tout) et des armures limite mécaniques et high-tech ressemblant à des myth Cloth pour figurines de bas étage même si elles sont détaillées. Seiya et sa bande ressemblent plus à des boys band coréens ou japs avec des armures de héros sentai qu'autre chose... On dit que le ridicule ne tue pas. Mais là, ça tue l'intérêt et l'essence de la série. Et là je me dis : Oh wait, c'est Saint Seiya, ça ? Sérieusement !?

 

Autant dire que je suis tombé de haut, de très haut même ! Au bout d'une quarantaine de minutes, je n'avais qu'une envie : que ce calvaire finisse rapidement. J'ai pris mon mal en patience et me suis donc infligé cette... chose jusqu'au bout. Même Saint Seiya Omega, que j'ai moyennement apprécié et que beaucoup de fans détestent à raison, me paraît un chef d'oeuvre à côté de La Légende du Sanctuaire. C'est dire !

 

Ça va tellement vite en 1h30 que la personnalité des personnages n'a pas le temps d'être traitée, pas même des chevaliers de bronze ou de Saori / Athéna. On va droit au but pour enchaîner des rixes sans saveur, sautant des passages qui auraient pu apporter un peu de substance à ce scénario repris et mal restructuré. Ceux qui suivent assidûment les séries Saint Seiya seront en terrain connu malgré tout. Seiya et ses compagnons possèdent déjà ces liens d'amitié qui les rendent si forts, mais ce n'est pas vraiment exploité ou mis en avant. Le canevas de base pour le sanctuaire est certes respecté dans les grandes lignes, mais ça ne va pas plus loin. On n'explore guère la psychologie des personnages, ni leur passé, ni la mythologie ou encore la relation de Saori avec son grand-père dont ce dernier n'est vu que deux minutes au tout début. Et même si certains personnages de la première série ne sont pas présents et auraient pu l'être (comme par exemple Marine et Shaina), cela n'aurait pas pour autant empêché de mettre en avant le passé des héros, voire de quelques chevaliers d'or. De creuser un peu, je ne sais pas moi. Tout juste à peine effleure-t-on le but de Saori Kido qui apprend qu'elle est la réincarnation d'Athéna, et encore elle en a à peine conscience durant un long moment. Et on voit Seiya & cie sortir de nul part, comme ça, et ils connaissent déjà Saori et savent qu'ils doivent la protéger. J'aurais aimé savoir comment ils auraient pu le savoir, comment ils se sont rencontrés, entrapercevoir des bribes de leur passé même petites, des souvenirs d'enfance entre les chevaliers à l'orphelinat de la Fondation Graad, ou encore voir des images de leur passé où ils s'entraînaient avec leurs maîtres pour devenir des Saints dignes. Eh bien non, quedal, rien de tout ça.

En plus de ça, les chevaliers de bronze n'ont presque aucun mal à livrer des batailles contre les chevaliers d'or, quoi que vers la fin ça se complique un peu mais ça reste expédié et, surtout, tiré par les cheveux.

 

Tout le long, je n'ai rien ressenti du tout. Autant j'ai chialé à maintes reprises devant des passages épiques et tristes de la série originale de 86 que j'ai revisionnée récemment (et ses musiques sublimes y sont certainement pour quelque chose), autant avec Legend of Sanctuary je suis resté de marbre et dépité tant ce métrage se résume à une coquille vide sans âme. Les urnes des chevaliers sont remplacées par des... plaques ressemblant à des porte-clés qu'on jette au sol à la manière des caspules dans Dragon Ball, et hop, magie ! Les armures passent en mode "Transformers" et les héros les endossant ressemblent plus à des sortes de cyborgs ou héros de Sentai qu'autre chose, histoire de se mettre à la nouvelle mode ! C'est chouette !!! LOL. Sans parler que le sanctuaire ressemble pas mal à une île flottante avec un colisée au centre, avec les douzes maisons meublées et décorées. Parfois, vient aussi un humour bidon laissant place à une animation limite cartoonesque des personnage un peu façon productions Pixar. Ça m'a fait sourire, mais dans le sens du ridicule. Plus sérieusement, elle est où la magie là des Chevaliers du Zodiaque ? D'une série mythique de mon enfance qui m'a fait découvrir les manga et fait vivre des émotions palpitantes en ressentant tellement de choses ? D'une série qui se voit affûblée d'un film vulgarisant l'essence même de ce que représente Saint Seiya... Pour le pognon, pour un nouveau public, ou je ne sais quelle raison grotesque. Dire que c'est pour les 40 ans de carrière de Masami Kuramada (le créateur de la série) que ce film a vu le jour. Quelle honte ! Les développeurs n'ont pas hésité à souiller éffrontément cette saga avec ce film. Il n'y a rien qui le sauve du naufrage. À la rigueur, quelques rares musiques sont pas mal. Nouvelles bien sûr, mais au final, à part un thème de combat qui semble être le thème principal et qui reste à peine correct, rien de folichon et puis ça manque cruellement de variété. C'est pas du Saint Seiya ça, c'est juste une grosse blague qui n'a rien de drôle. Que ça prenne des libertés, je veux bien pour apporter un petit souffle rafraîchissant, pourquoi pas. Mais certains choix, en plus d'un scénario mal décousu, d'une mise en scène sans saveur, nous larguant direct en pleine bataille du Sanctuaire sans approfondir ne serait-ce qu'un peu l'univers, ni sans creuser dans le passé et la psychologie des chevaliers ou encore dans leurs relations. Il ne reste (presque ?) plus rien. L'ambiance de la mythologie grecque est à peine palpable tant le Sanctuaire n'a quasiment plus rien de ce qu'on connaissait, laissant place à un design futuriste mais malgré tout antique. Les combats n'ont plus rien d'épique. La façon comment Athéna souffre pour endurer cette bataille est édulcorée au possible. Pas vraiment de situations dramatiques, de sens de l'honneur et du devoir, de scènes dures et poignantes, de liens d'amité et de fraternité, pas vraiment de sang ou d'armures mises en pièces. Aucune intensité dans les joutes, même s'il y a une myriade d'effets spéciaux mais ça ne suffit pas. Et, outre ce chara-design désastreux, les décors (pourtant plus réussis à côté, encore heureux) peinent à convaincre à se situer dans l'animé et surtout l'ambiance. 

 

Alors oui, c'est un reboot. Une autre vision des Chevaliers du Zodiaque. Mais c'est réalisé à un point que c'en est devenu n'importe quoi et que ça trahit considérablement le matériau de base. Enfin bon, toujours est-il qu'il fallait que je le voie et me cultive un peu plus ainsi. Ne me restera plus qu'à voir la dernière série en date en cours de production de l'univers Saint Seiya : Saintia Shô. Même si j'avoue avoir un peu peur... On verra bien.

Bref, j'ai clairement détesté et je veux juste oublier là. Peut-être que je vais paraître sévère ou froid, mais si je devais mettre une note à ce film nullissime qu'est ce Legend of Sanctuary, sincèrement, je lui mettrais un zéro. Le zéro absolu tant il m'a refroidi (sans mauvais jeux de mots). 

 

À la fin, j'étais comme ça : 

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Modifié par Ragna, 02/12/2019 - 21:19.

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#5779 Ragna

Ragna

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Posté 16/12/2019 - 21:40

Darling in the Franxx fini de visionné en vostf. Et... c'est vraiment très, très spécial comme animé, atypique en raison des thèmes dont traite l'histoire et la façon tantôt subtile, tantôt fan-service, mais surtout ô combien métaphorique comme le tout est amené. 

 

 

Disons-le clairement, c'est le genre d'animé qui ne plaira pas à tout le monde. En raison de son ambiance tranche de vie couplée à l'univers SF & Mecha qui tourne sur une dizaine de jeunes adolescents ne connaissant pas grand chose à la vie (mais ils apprennent plus ou moins vite) puisqu'ils ont grandit dans un écosystème réduit et militaire où ce qu'ils savent faire de mieux, c'est de se battre à bord de robots géants appelés Franxx. Mais on ne les pilote pas n'importe comment, ces robots... Ça marche par paire de pilotes constituées d'une fille et d'un garçon, tous deux positionnés au sein de l'habitacle de la machine dans une position plus que douteuse voire luxurieuse. De fait, le propos de cette série repose essentellement sur la découverte des sentiments entre les pilotes sur l'amour, avec pas mal de sous-entendus sur le sexe. Pour autant, ça n'empêche pas l'histoire de se développer en parallèle de son background à un rythme plus ou moins soutenu, malgré un début quelque peu nébuleux où les réponses à plusieurs questions trouveront progressivement leurs réponses, avant même un stade avancé où les révélations fusent. Passé presque les deux tiers, le scénario met le turbo en se plongeant dans le passé pour mieux comprendre pourquoi le monde est devenu tel qu'il est dans le présent, c'est-à-dire un monde avec des villes désertifiées où l'humanité s'est construite des plantations (sortes de villes/écosytèmes artificiels servant également de bases mobiles). C'est un peu déconcertant, sans parler qu'on a souvent droit à des angles de vue dynamitiques montrant des images cadrées sur fond noir, avec également des messages subliminaux (et mots-clés de l'histoire) m'ayant rappelé des animations artistiques de Bakemonogatari. Quelque part, ça ajoute une dimension cinématographique.

Et c'est aux jeunes ados prépubères qu'incombe la tâche de protéger leur plantation avec les Fanxx. Ils sont entraînés pour. Alors bien-sûr, le côté tranche de vie est très présent, autant que le côté SF / Cyber & Mecha, quoi que peut-être même un peu plus. Ce faisant, on n'échappe pas à des scènes fan-service et ecchi, et à dire vrai, je m'y attendais, mais ce n'est pas aussi lourd, abusé ou malsain que je le pensais ou comme ça peut l'être dans bien d'autres animés. En fait, ça n'a pas l'air comme ça mais ces scènes s'imbriquent bien entre les batailles opposant les Parasites (les noms des pilotes des Franxx à défaut d'avoir des codes chiffrés, ça peut sonner péjoratif dit comme ça mais il y a une logique scénaristique à la désignation "parasite") aux Hurleurs (sorte d'entités géantes mutantes capables d'adopter diverses formes et provenant des entrailles de la Terre). 

 

Il y a quelques baisses d'avancée de scénario parfois, au détriment d'un développement superficiel de la plupart des personnages assistant le duo principal (Hiro et Zero Two), qui eux sont clairement mis sur le devant de la scène tout au long de l'intrigue. Il y a bien des triangles amoureux qui se forment avec leur entourage au sein du groupe d'amis, permettant par la même occasion de développer un peu plus la personnalité de chacun, lentement mais sûrement, mais jamais au même degré que le couple central qui ne cesse d'évoluer. C'est justifié en partie par la narration, et ça n'empiète pas trop sur le rythme progressif de l'histoire, mais ce faisant je n'ai pas pu vraiment m'attacher à ces personnages secondaires même si j'avais de l'intérêt pour un ou deux en attendant de m'attacher, hormis Hiro dont la personnalité m'a donné pas mal à réfléchir. Tôt ou tard, une poignée de ces adolescents ont à voir avec le passé de Hiro, et ça ajoute à l'univers, et ils s'impliqueront dans la relation de Hiro avec la mystérieuse Zero Two allant jusqu'à faire naître des événements houleux. Mais c'est ainsi que leurs caractères se forgent et rendent le climat de l'oeuvre assez vivant, malgré le contexte où s'est enlisée l'humanité en proie à l'infertilité et le clonage entre autres thèmes chamboulant le principe même de la vie dans un futur proche. Il y a tout un background derrière qui se dévoile partiellement. Ces quelques lenteurs et à-côtés sont compensés par un scénario aux idées très pertinentes, parfois allégoriques. Mais il faut déjà accrocher à cet univers si particulier, et surtout, à cette bande de jeunes adolescents qui apprennent à se découvrir dans une maison spécialement aménagée comme vivaient les humains autrefois (et à notre époque), tout en étant surveillés par des adultes qui s'occupent de les éduquer et de les former. Il y a donc un petit côté "Loft Story" qui ne plaira certainement pas à tous, moi le premier vu que j'ai horreur de ce genre de télé-réalité, et c'est pourtant passé en mode animé même si ce n'est clairement pas ce que je retiens de mieux. Un peu comme le football que je déteste, pourtant j'ai adoré Olive et Tom / Captain Tsubasa. ^^

 

Le plus gros point fort de Darling in the Franxx est son scénario, qui si lui remplit le cahier des charges avec un format de 24 épisodes, aurait quand même gagné à mieux développer tous les personnages importants (c'est-à-dire les autres pilotes à part le couple central Zero Two & Hiro, encore une fois) aini que l'univers quitte à rajouter quelques épisodes de plus pour davantage approfondir. L'histoire évolue bien dans l'ensemble, il y a peu de temps morts, mais le souci est que vers la fin les événements se bousculent tellement vite que si la fin a beau conclure l'animé de fort belle manière, il reste un arrière-goût de rythme final inégal dans les derniers épisodes et il reste quelques questions sans réponses qui subsitent (même si elles concernent quelques petits détails de l'univers et des personnages secondaires). Tout est spécial dans cette production Trigger, jusqu'au mecha-design. Si graphiquement et esthétiquement on a droit à de magnifiques dessins pour une prod' de 2018 sans pour être un truc de fou, à première vue les robots ont des allures légèrement inspirées de Evangelion, mais surtout ils arborent des allures infantines du fait qu'ils sont colorés avec des fomes cylindriques à la fois grosses et sveltes et que leurs visages d'enfants aux gros yeux reflètent l'association des pilotes. Difficile à décrire, mais je dirais ça en gros. Là encore, ça peut ne pas plaire à tous, que l'on soit fan ou non de mecha. Chaque duo de pilotes a son propre robot et des armes spécifiques pour chaque modèles. Pour ma part, ça ne m'a pas dérangé plus que ça et je m'y suis vite habitué. Ce qui m'a dérangé un peu, en revanche, ce sont les positions sexuelles des pilotes faisant référence à la levrette (oui, oui, à ce point). Mais il n'y a pas vraiment de rapport physique à proprement parler, si ce n'est une connexion de sentiments concentrés entre la fille et le garçon créant une synergie ayant pour but d'amélorer les performances du Franxx en combat. On aura tout vu ! Encore une fois, c'est métaphorique et en cohérence avec l'histoire, mais si en plus il y a parfois quelques scènes fan-service (assez rares dans ce cas) qui s'y greffent, bonjour le sérieux ! Mais il y a un épisode qui m'a donné un petit fou rire de la façon comme ça a été amené alors qu'ils se battaient contre des hurleurs. Parce que l'animé n'est pas dénué d'humour, bien au contraire ! Et plus d'une fois j'ai esquissé un sourire de par le côté jovial qui se dégageait de scènes apportant une bonne bouffée d'air pur. Mais plus on avance dans les épisodes, et moins humoristique c'en est, ce qui n'empêche pas le scénario de rester sérieux tout en assumant sa part de slice of life tout le long. 

 

Bref, ça sort carrément des sentiers battus et c'est très particulier. J'ai trouvé l'animé pas mal mais pas fou, j'aurais préféré que le backgound et les persos soient un peu plus développés malgré un scénario bien ficelé au final. J'allais oublier les musiques. Elles sont plutôt belles sans être mémorables, mais peut-être aussi pas assez péchues ou folles lors des combats bien qu'elles se laissent entendre. Celles d'ambiance inspirent souvent un sentiment de tranquilité, de découverte, et c'est d'autant plus vrai dans les moments dramatiques, de tranches de vie, de romance et d'amitié. Il y a toujours une sonorité notable pour souligner l'instant présent et l'importance du moment. Le doublage m'a semblé correct sans plus, les voix collent avec l'apparence et l'âge des ados dans l'ensemble, et du reste c'est classique. Pour info, l'animé est également disponible avec des voix en français. J'ai essayé par curiosité pour le premier épisode mais je ne saurais me prononcer pour si peu. Sympa comme oeuvre mais juste à peine un peu mieux que moyen, car il y a encore du potentiel qui aurait pu y être insufflé à mon avis. C'est par moments très WTF, et je peux comprendre étant donné le contexte très futuriste et avancé technologiquement, mais parfois c'en est trop, surtout vers la fin. M'enfin, ça reste un animé après tout. Ça change un peu des standards habituels. Je regarderai probablement une nouvelle fois plus tard, mais en VF ou en audio latino. Parce que mine de rien, le scénario est complexe, et j'ai de justesse compris le principal, mais je pense que le regarder une seconde fois m'offrira un meilleur confort de clarté pour certains éléments. Comme j'ai tout de même apprécié un minimum l'expérience, ça ne devrait pas poser de souci.

 

 

 

Si je devais mettre une note, ce sera un 6/10.


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#5780 Bahamut-Omega

Bahamut-Omega

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Posté 06/08/2020 - 12:28

Vous savez à quel chapitre du manga je dois commencer pour enchaîner avec la suite de l'anime Hunter x Hunter (2011) ?

À mes risques et périls j'ai envie de me mettre au manga, en espérant que Togashi arrive à le finir un jour, entre sa fainéantise et ses problèmes de santé...

 

Sinon quitte à réup le sujet autant faire un top sur ce que j'ai vu récemment. Ou plutôt revus car en nouveauté, rien d'original.

Je suis tout de même My Hero Academia, Dr Stone, Golden Kamui, Shingeki no Kyojin, JoJo's Bizarre Adventure et Kimetsu no Yaiba. J'attend avec impatience leurs prochaines saisons. Ainsi que les films Gundam Hathaway's Flash et Rebuild of Eva (l'arlésienne).

 

Mais en attendant tout ça, j'ai revu, encore, Full Metal Alchemist Brotherhood. Tout simplement par ce que je l'adore. La perfection en tout point (pour moi bien sur).

 

j'ai revu Evangelion, la série, pour essayer d'y comprendre quelque chose et surtout de m'en souvenir cette fois-ci. 

J'ai enchaîné avec le film The End of Evangelion et y'a pas à dire, je préfère de loin cette version "doigt d'honneur aux fans" à "l'auto thérapie prétentieuse et pompeuse" de la fin de la série TV. Au moins c'est un minimum divertissant.

 

Ensuite j'ai revu RahXephon. A l'époque je le considérais comme un sous Evangelion justement, mais c'était très stupide. Ça serait comme comparé JoJo à One Piece, ou DBZ à YuYu Hakusho.

Au final ça reste très différent, mais aussi perché qu'Evangelion parfois.

 

Et pour finir, je revisionne Hunter X Hunter (2011). D'où ma question de départ. Là j'en suis à la fin de l'arc Kimera Ant. 

Jusqu'à cet arc, je trouve l'anime presque parfait, un vrai plaisir à revisionner. Mais le début de l'arc KA est chiantissime. Jusqu'à la naissance d'un premier "grand ennemi". Mais la fin de l'arc me rappelle un peu la fin de YuYu Hakusho, assez frustrante sur pas mal de point.


Modifié par Bahamut-Omega, 06/08/2020 - 12:29.

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#5781 vernes

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Posté 06/08/2020 - 17:25

Ça te met après les élections c'est ça ? Je dirai le chapitre 341 alors = le volume 33 . Si t'as trouvé l'arc KA chiant pas sûr que la suite te ravisse , moi j'aime beaucoup mais les affrontements psychologiques me plaisent tout autant que physiques .


Modifié par vernes, 06/08/2020 - 17:27.


#5782 Elsental

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Posté 06/08/2020 - 18:03

 

À mes risques et périls j'ai envie de me mettre au manga, en espérant que Togashi arrive à le finir un jour, entre sa fainéantise et ses problèmes de santé...

Cela n'est que mon avis, mais je trouve qu'au vu du profil de Togashi, ça sert juste à rien de croire à une fin, l'arc est actuel a tellement des ambitions fat, on est toujours dans la partie d'intro depuis plusieurs années, un peu à l'instar de l' "intro" de Kimera Ants, mais en x10 ah ah.

Si cela se fait, très bien, mais je continue à lire le manga sans cette perspective, il vaut mieux prendre l'arc en cours comme un "super bonus", et quelle bonus !

Ce que j'ai plus peur perso, c'est que si arrêt se fait suite à un décès, qu'un random mangaka prenne le relais pour finir le manga. Togashi a une aura extraordinaire, j'espère que cela serait suffisant pour dissuader le Jump de faire une telle chose.

 

D'ailleurs, la fin de l'anime 2011 se termine avec l'arc des élections, qui conclu un gros bloc narratif, je trouve qu'il y a tout à fait moyens de s'en contenter.


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#5783 Bahamut-Omega

Bahamut-Omega

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Posté 06/08/2020 - 18:51

Ouais il me semble que ça se termine par des élections ou quelque chose comme ça, je n'en suis pas encore là dans mon visionnage.

 

C'est très frustrant de voir le potentiel énorme de ce manga gâché comme ça.

Après, c'est peut-être vrai qu'il est très malade et dans ce cas, ça peut parfaitement se comprendre. Mais beaucoup s'accorde à dire qui est surtout très fainéant ou n'en a rien à foutre de son oeuvre... 

Vu ce qui est arrivé à YuYu Hakusho, on peut craindre le pire. Au début je pensais que c'était juste l'adaptation anime qui a été baclé sur la fin, mais non ça semble identique au manga...

 

Dans tout les cas, je trouve ça très dommage. Que se soit se contenter de l'anime 2011 ou d'un manga au rythme très lent et à la parution chaotique. Alors que c'est un potentiel "rival" à One Piece.


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#5784 vernes

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Posté 07/08/2020 - 10:27

Après il faut se méfier de la conception de la fainéantise quand on parle des conditions des mangaka japonais ^^ . Je n'ose pas imaginer comment ils qualifieraient nos dessinateurs ...


Modifié par vernes, 07/08/2020 - 10:30.


#5785 Mattcrype

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Posté 12/04/2021 - 20:28

jai vu ça hier sur le matthew ab. Canon à mort Un remake de Kanon, dont la promo est déjà dispo chez orz sur animesuki par exemple. Rah làlà trop chteuf, jen finirai jamais. Là jai maté REC 6-7 lunar, Karin 18 we suck. Ptite pause hein.

#5786 Benone

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Posté 13/04/2021 - 20:11

Étrange réponse, Mattcrype. Serais-tu un robot?


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#5787 Bahamut-Omega

Bahamut-Omega

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Posté 29/12/2021 - 20:49

Mon post de l'année :decayed: , mon bilan 2021:
 
En cours:
_ One Piece. Le cap des 1000 est passé ! Bon toujours la vitesse de croisière d'un shonen fleuve. C'est lent, c'est moche (surtout pendant la période des JO au Japon vu qu'il y avait la censure en plus et qu'ils trainent en longueur pour donner un épisode 1000 un minimum symbolique), mais la base est toujours solide.
_ Slayers Evolution R
_ Gintama S8
 
Revus en 2021:
Full Metal Panic S3 et S4
Golden Kamuy S1 et S2
Shingeki no Kyojin S1 à S3p2
Ginga Eiyuu Densetsu
Black Lagoon S1 à S3
Full Metal Alchemist Brotherhood
Demon's Slayer
Mon voisin Totoro
Le Château dans le ciel
Le Château ambulant
Dr Stone
Devilman Crybaby
Rebuild of Evangelion 1 à 3
My Hero Academia S1 à S4
Betterman
 
Vus en 2021:
Metal Skin Panic MADOX-01 
Golden Kamuy 3rd Season
Shingeki no Kyojin: The Final Season (Part 1)
Macross Δ Movie: Gekijou no Walküre 
Mobile Suit Gundam: Hathaway's Flash (1er film)
Kimetsu no Yaiba Movie: Mugen Ressha-hen 
Dr. Stone: Stone Wars
Mirai no Mirai 
Odd Taxi
Slayers 
Slayers Next
Gintama
Slayers Try 
Gintama'
Gintama': Enchousen
Evangelion: 3.0+1.0 Thrice Upon a Time
My Hero Academia 5th Season 
Gintama°
Gintama Movie 2: Kanketsu-hen - Yorozuya yo Eien Nare 
Slayers Revolution 
 
(En gras, ce que j'ai retenu et que je conseille).
 
En quelque mots:
 
Enfin le 4e film Rebuild of Eva ! Et plutôt réussis à mon avis. Il réconcilie les fans de la série TV et du film the End, la volonté d'Ano et le grand spectacle fan service.
 
Et je me suis lancé dans deux grosses saga, Slayers et Gintama.
Pour la première, c'est très "scolaire", la petite aventure délirante hebdomadaire de la "belle magicienne surdouée" Lina et de ses amis. C'est très plaisant à suivre, et très drôle. Un peu moins la 4e saison, enfin je commence la 2e partie. Peut-être que l'identité de la mystérieuse armure vivante qui lui sert de nouveau compagnons va relever le niveau si c'est bien la personne à qui je pense...
 
Et la deuxième: Gintama !
Je ne me suis jamais autant marré devant une série TV de japanimation. Ca reste quand même beaucoup d'humour de références, on est très dépendant de la qualité de la fan-trad pour nous expliquer telle ou telle blague ou gag. Mais malgré tout, je trouve ça drôle. Et les arcs sérieux sont démentiels. Hâte de voir la suite à chaque fois.
 
Hors japanimation:
Je me suis revu les premières saison de Castlevania avant la dernière. Plutôt content de cette série dans l'ensemble. Ca ne dois pas trop ressembler aux jeux, mais pas grave, je n'avais pas d'attente particulière.
 
Et j'ai revu les 6 premières saisons de Kaamelot avant le premier film du "livre 7".
Je suis assez fan de cette saga, et content de ce film. Il ne m'a pas tellement surpris, mais pas du tout déçut. On retrouve l'identité de la série TV et des téléfilms, mais avec le budget d'un film. Plus de décors (on voit la forteresse Kaamelot enfin !) et plus de guest star (tout en retrouvant l'ensemble des acteurs habituels). Vivement la suite !

Modifié par Bahamut-Omega, 29/12/2021 - 23:40.

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#5788 Bahamut-Omega

Bahamut-Omega

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Posté 01/01/2023 - 20:26

Mon bilan 2022:

 

En cours:

_ One Piece, encore et toujours.

_ Ginga Eiyuu Densetsu: Die Neue These - Sakubou

 

https://myanimelist....rder=2&order2=0

 

Gintama.: Porori-hen

Slayers Evolution-R

Gintama.: Shirogane no Tamashii-hen

Violet Evergarden Movie

Gintama.: Shirogane no Tamashii-hen - Kouhan-sen

Gintama: The Semi-Final

Gintama: The Final

Darker than Black: Kuro no Keiyakusha

Darker than Black: Kuro no Keiyakusha - Sakura no Hana no Mankai no Shita

Kimetsu no Yaiba: Yuukaku-hen

Shinsekai yori

Lodoss-tou Senki: Eiyuu Kishi Den

Shingeki no Kyojin: The Final Season Part 2

Mushishi

JoJo no Kimyou na Bouken Part 6: Stone Ocean

Mushishi Zoku Shou Season 1

Mushishi Zoku Shou 2nd Season

Shaman King (2021)

Scarlet Nexus

Shenmue the Animation

Taiho Shichau zo

Taiho Shichau zo: Nagisa no Koutsuu Yuudou

Taiho Shichau zo (Special)

Taiho Shichau zo (TV)

Taiho Shichau zo: Second Season

Taiho Shichau zo: Full Throttle - Watashitachi no Iru Basho

Taiho Shichau zo: Full Throttle

Ginga Eiyuu Densetsu: Die Neue These - Gekitotsu

Kidou Senshi Gundam

Dr. Stone: Ryuusui

Spy x Family

Dragon's Dogma

Black Cat (TV): Toozakaru Neko

Black Cat (TV)

Digimon Adventure tri. (l'intégrale des films)

Digimon Adventure:

Vinland Saga

JoJo no Kimyou na Bouken Part 6: Stone Ocean Part 2

Planetes

Muteki Choujin Zanbot 3 (VOSTA)

Uchuu Senshi Baldios (VOSTA)

Uchuu Senshi Baldios (Movie) (VOSTA)

Aoki Ryuusei SPT Layzner (VOSTA)

Aoki Ryuusei SPT Layzner OVA (VOSTA)

Kyoukai Senki (P1 et P2)

Cyberpunk: Edgerunners

Uchuu Senkan Yamato 2202: Ai no Senshi-tachi (VOSTA)

Uchuu Senkan Yamato 2 (TV) (VOSTA)

Uchuu Senkan Yamato: Aratanaru Tabidachi (VOSTA)

Uchuu Senkan Yamato 2205: Aratanaru Tabidachi (VOSTA)

Yamato yo Towa ni (VOSTA)

Uchuu Senkan Yamato III (VOSTA)

Uchuu Senkan Yamato: Kanketsu-hen (VOSTA)

Seisenshi Dunbine (VOSTA)

JoJo no Kimyou na Bouken Part 6: Stone Ocean Part 3

Spy x Family Part 2

 

A retenir de l'année:

- la fin de Gintama, quel anime épique. Et le final est réussis en plus.

- la fin de Slayers (en anime) Lina Inverse toujours aussi géniale, et Goury toujours aussi drôle malgré lui.

- Mushishi. Petit OVNI assez poétique

- Taiho Shichau zo. (Equipières de Choc en VFr). J'en avais de très très vague souvenir d'enfance, content d'avoir retrouvé (ou plutôt réellement découvert) ces deux femmes flics délirantes.

- MS Gundam version série TV vu pour la première fois, et oui, j'y ais mis le temps !

- Spy X Family, un des animes les plus drôles que j'ai vu.

- Vinland Saga, c'était génialissime, vivement la suite.

- JoJo Bizarre Adventure P6. Depuis le temps que je voulais l'a voir. Pas déçu, surtout de l'anime pour comprendre les pouvoirs des héros.

- Beaucoup d'anime en VOSTA, une première pour moi. Et des trucs qui finissent bien tristement comme Zambot 3, Baldios et Dunbine.


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#5789 Benone

Benone

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Posté 14/01/2023 - 16:13

Mushishi, c'est génial. J'ai pas entamé la deuxième saison. Plus tard, plus tard.


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