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Toujours sur Tales of Vesperia.
Un jour, les persos de JRPG comprendront que s'ils se parlaient au lieu de garder leurs secrets et essayer de stopper la catastrophe au dernier moment, ils n'auraient aucun problème.
Mais non, on fait ses trucs dans son coin et fatalement ça merde.
Judith, si tu me lis...
(accessoirement c'est une ficelle scénaristique qui me gonfle.)
Je ne me souvenais pas que c'était aussi long à se démêler dans Tales of Vesperia. Tu devrais attendre pour jouer à Trails of Cold Steel II...
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Trop tard, je suis dessus. 😉
C'est pas tant la lenteur de la progression d'un scénario qui pose problème, mais que le secret est utilisé comme élément purement mécanique pour laisser le scénario se dérouler dans le sens de la catastrophe, pour que les gentils puissent ensuite la régler. ici, il n'y a aucune raison logique pour que Judith garde sciemment les choses pour elle, c'est juste que si elle parlait il n'y aurait plus vraiment de danger. Donc ouais pour moi c'est mal foutu et paresseux.
Pour en revenir à ToCS2, je progresse pas très vite (j'ai juste fini les highlands). Je crois qu'en ce moment j'ai besoin de jouer à des trucs qui demandent plus de réflexion et de skill, et permettent plus de personnalisation aussi. C'est probablement pour ça que je reviens régulièrement sur les Souls alors que j'ai celui-là sur le feu. Et c'est pas qu'il est mauvais mais j'ai vraiment l'impression de progresser pile au rythme voulu par les devs, de n’avoir aucune marge de manœuvre autre que de chopper tous les coffres et quêtes pour avoir la meilleure équipe possible. Bon faut dire aussi que j'aurais vraiment dû le faire en hard, j'ai été con sur ce coup là. C'eut été plus intéressant :crying: .
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Ah ça malheureusement, c'est sûr... J'avais été tellement déçu par ma partie de ToCS en normal, j'ai pas hésité une seconde à commencer en hard.
Et ton ressenti est tout à fait normal, c'est tellement grand (et tu verras à la fin, sur ce que tu dis, tu vas rager) qu'on ne peut pas penser autre chose de la progression dans ce jeu.
