<blockquote class="ipsBlockquote" data-author="Larva" data-cid="493894" data-time="1490376390">
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Fini Nier : Automata avec les fins A,B,C,D et E
Le 3ème run rehausse clairement l'ensemble et mon avis sur le jeu a du coup bien changé 🙂
Je trouve toujours que Nier Replicant/Gestalt est meilleur, surtout grâce un premier run bien meilleur et des personnages plus marquants,
mais j'ai vraiment adoré toute la deuxième moitié du jeu, et la fin E bien évidemment, vraiment excellente :magus:
Vraiment dommage d'avoir une première partie de jeu un peu faiblarde.
Je viens de le finir aussi avec la même chose.
Même avis, mot pour mot. 🙂
Plus faible que le premier NieR, moins visceral, moins "coup de poing", mais un propos toujours aussi génial. Avec des idées de gameplay/mise en scène absolument excellents.
Pour info, j'ai fait le tour des 5 fins + tué le boss lvl 99 en 36 h. Terminé au level 81.
Note : 8/10
Là, je vais juste continuer un peu ma partie histoire de mater quelques autres fins "trolls". Je n'en ai vu que 3 durant ma partie, il reste de quoi faire 🙂
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Fini Nier Automata, en lui mettant 67 heures dans la face. J'ai fait tout ce que je pouvais y faire, exception des Pods à upgrader au max parce que c'est super chiant. Ça a été bien plus simple avec les armes, tous les matériaux d'upgrades peuvent s'acheter une fois la dernière fin débloquée.
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J'ai énormément pris de plaisir à y jouer. Le départ a été certes un poil austère et plat-plat, le jeu est quand même assez moche et bof techniquement, mais il parvient très vite à étaler ses qualités : ses personnages attachants, sa bande son qui défonce (moins que Nier 1, mais qui défonce quand même), son art de la mise en scène qui arrive à faire beaucoup avec peu de moyens - j'ai beaucoup aimé toutes les gimmick autour du fait qu'on joue des androïdes -, son gameplay bien plus fin qu'il n'y parait, sa qualité d'écriture et sa manière d'aborder, que ce soit de manière tragique, cocasse ou réfléchie, les liens entre l'homme et la machine voir la notion de lien tout court. Et puis après arrive le troisième run, un train lancé à pleine vitesse qui multiplie les révélations et les scènes incroyables et / ou déchirantes, et qui ne s'arrête même pas pendant les crédits qui font partie intégrante du trip de Yoko Taro (et j'ai trouvé ça extrêmement bien foutu comme conclusion). Et c'est une fois qu'on a reposé la manette qu'on comprend que cette austérité du début est voulue, qu'elle fait partie d'un tout, que le jeu entier fait parti d'un tout, comme si on nous balançait à la tronche la lecture d'un chapitre d'une histoire déjà bien avancée, en laissant à notre curiosité le soin de chercher les pages, qui prennent notamment la forme d'informations à trouver dans l'univers, pour tenter de reconstituer le récit. J'ai fait le 100% données et je le regrette pas, c'est vraiment intéressant à lire. Et le coup de grâce du jeu, c'est aussi ces références à Nier premier du nom qui sont souvent l'occasion de jolis moments émotions.
Alors oui il est un peu moche, un peu terne, un peu austère, parfois pas très logique dans ses choix de design, mais c'est aussi un jeu incroyablement sincère, une sincérité qui colle des pains dans la face autant qu'elle touche au cœur. C'est un jeu vraiment magnifique.
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Ok, donc par défaut, je devrai le finir en 99 heures ! 🙂