Juste une phrase que tu devrais peut être revoir :
On avance sans se rendre compte du temps
passé dessus pour se rendre compte que plus on joue moins on voit le temps passer !
<?
//ci après la version du jeu qui a été testée, soit NTSC/JP, NTSC/UC, PAL/EN ou PAL/FR
//selon que le jeu soit japonais, américain, européen (en anglais) ou européen (en français)
$version = "NTSC/UC";
//ci après mettre les notes que le jeu a obtenu. Les notes piles doivent etre mises
//avec un 0 apres la virgule ex : 7.0 et non 7.
$NoteTechnique="9.5";
$NoteSon="9.0";
$NoteScenario="7.0";
$NoteVie="9.5";
$NoteGameplay="8.0";
$NoteFinale="95";
//tableau contenant les plus et les moins (en attendant un autre systeme)
//s'il n'y a pas de +/-, écrire NULL, sinon la syntaxe est :
//array("");
$lesplus= array("L'ambiance",
"La durée de vie",
"La carte du monde",
"Le design",
"L'alchemy Pot",
"L'accord parfait entre les anciens DraQue et les RPGs actuels",
"L'humour");
$lesmoins= array("L'ordre dans lequel les personnages agissent !",
"Pas assez de musiques différentes");
//pour les screenshots, il suffit d'écrire le numéro de la première image (qui s'appelle
//mini_1, et la derniere du lot mini_x, ceci est fait pour permettre de mettre dans un meme
//dossier des images provenant de versions différentes.
$screen_debut=1;
$screen_fin=20;
//une légende par image, elle utilise la même syntaxe que les + et -
$legende=array("Humm...",
"La carte du monde ultime",
"En avant pour l'aventure !",
"Le jour...",
"... et la nuit",
"Un menu pratique et efficace",
"Les sorts sont impressionnants",
"Yangus le bourrin du groupe",
"L'option tactique pour les fainéants",
"Tension level 100 !",
"Une animation des combats sans faille",
"Chaque personnage a ses skills propres",
"Trode face à Munchie",
"Brûle HA HA",
"Yangus bourru et comique",
"Angelo, quel dragueur",
"Attention, prêt ?",
"KASWOOSHH !",
"Jessica sexy mais il faut pas l'embêter !",
"Woooo");
//écrire true si les images peuvent être agrandies, sinon false
$agrandissement=true;
//Ici se trouve le texte.
//Vérifier qu'aucun " n'aparaisse dans le message et remplacez-le par $quot; (ou \" )
//dans le cas des balises HTML, ne mettait pas de " pour les attributs.
//Si vous souhaitez appliquez une mise en forme particulière :
//
sert à générer les paragraphes
//<INTRO></INTRO> délimite le premier paragraphe de votre article qui sera en gras
//<p class=valeur>
si vous souhaitez mettre une ligne en valeur
//
permet de faire un retour à la ligne.
// pour mettre un mot, groupe de mot en italique.
// pour souligner un mot, groupe de mot.
//<b></b> pour mettre un mot, groupe de mot en gras.
$contenu="<INTRO>Quel joueur de RPG ne connaît pas Dragon Quest, ne serait-ce que de nom ?
Moins productif que Square avec sa série FF commencée pourtant un an plus tard, Enix nous
sert ici le huitième épisode de la série sous-titré Journey Of The Cursed King. Développé
par Level 5, le studio a mis à profit toute son expérience pour redonner un coup de jeune à la
première saga RPG console. Le résultat ? Il faut croire que ça marche : 4 millions d’exemplaires
vendus en 4 jours au Japon, rupture de stocks dès la première semaine aux USA et une sortie PAL
annoncée pour le mois d’avril... Ca ne vous suffit pas ? Alors lisez la suite !</INTRO>.
<p class=valeur>Journey Of The Cursed King
Alors que tout le monde mène une vie paisible dans le royaume de Trodain, Douhlmagus,
un mystérieux magicien, fait son apparition et décide de voler le trésor royal : un sceptre magique.
Courageux défenseurs de leurs biens, le roi Trode et sa fille Medea tentent de s’opposer à Douhlmagus.
Mais bien impuissants face aux pouvoirs maléfiques du sorcier amplifiés par le sceptre,
Douhlmagus décide de punir leur audace en leur jetant une malédiction. Le roi voit son apparence
physique se changer en monstre et sa fille se transformer en jument. Satisfait de son mauvais sort,
Douhlmagus s’apprête à quitter Trodain, mais le sceptre bien trop puissant lui fait perdre le contrôle
de sa magie et détruit par la même occasion le bâtiment et tue tous ses occupants... Reprenant
finalement le contrôle du sceptre le sorcier s’enfuit. Alors que tout le monde semble changé en
plante sous le fait de la malédiction, un jeune garde royal indemne reprend ses esprits.
Rejoignant le roi et sa fille, ils décident tous trois de partir à la recherche de Douhlmagus
afin de lever leur malédiction. Ainsi commence le voyage du roi maudit...
<p class=valeur>Héros muet, anonyme au passé mystérieux
Vous pensez que cela fait beaucoup pour une personne ? Et bien pas Enix. Donc comme à
l’accoutumée dans un DraQue vous prendrez le contrôle d’un héros muet
(le garde royal rescapé pour ceux qui ne suivent pas) qu’il vous faudra d’abord nommer.
Bien sûr différents personnages viendront se joindre à la chasse au sorcier au cours de l’aventure.
Vous commencerez le jeu avec le héros accompagné de Yangus, voleur et gaffeur invétéré qui est aussi
l’élément comique du jeu. Viendra ensuite Jessica, magicienne sexy aux tenues et aux différents
atouts convaincants. Le dernier à vous prêter main forte sera Angelo,
(Kulule dans la version japonaise) ex-templar et dragueur à ses heures perdues.
<p class=valeur>Le renouveau ?
En jouant à DraQue 8, tous les éléments classiques de la saga qui demeuraient
jusqu’alors inchangés ont reçu un sérieux coup de jeune. Parlons tout d’abord de l’aspect
graphique du titre. Ici, exit la 3D approximative du septième épisode, on a le droit à une 3D
superbe avec des personnages en cell-shading du plus bel effet. Les couleurs sont vives et variées,
les décors fourmillent de détails et la carte du monde est vaste et on ne peut plus agréable
à traverser. L’animation des personnages comme celle des monstres est sans faille, et là encore
de nombreux détails sont présents pour donner vie au jeu. Par exemple, lorsque vous approcherez d’une
bibliothèque, vous pouvez choisir de consulter un livre. Dans ce cas, le héros prendra le livre
et se mettra à tourner les pages de ce dernier ! Pourtant, dans toute cette avalanche d’améliorations,
on retrouve la touche DraQue ; dans un premier temps dans les Character et Monster Design
qui sont bien sûr assurés par Akira Toriyama, mais aussi dans l’architecture des bâtiments et
les villageois qui de ville en ville ont bien sûr les mêmes sprites. Loin d’être un point faible,
cette utilisation répétée des mêmes sprites ravira les premiers joueurs de la saga et ne gênera
aucunement les nouveaux venus. Le nombre d’objets que chacun peut transporter est toujours limité,
il vous faudra donc toujours utiliser le sac au contenu illimité. Les seuls points de sauvegarde à
votre disposition sont toujours les églises et les boutiques vendent toujours leurs armes à des prix
exorbitants, mais que voulez-vous, renouveau ou pas on est dans un Dragon Quest !
Le jeu intègre également une gestion diurne et nocturne. Ainsi certaines actions ne pourront être
faites que la nuit et d’autres seulement le jour. Les personnages dans les villages et les monstres
que vous rencontrerez sont également différents selon s’il fait jour ou nuit.
Les combats eux aussi conservent cette part de classicisme : on a toujours une vue à la première
personne mais cette fois seulement lorsque l’on entre les commandes. Ensuite, la caméra se déplace
pour nous montrer les personnages frapper, esquiver ou encore lancer des sorts.
Je le répète mais le résultat est tellement incroyable qu’il faut le voir pour s’en rendre compte :
DQ8 est l’accord parfait entre le gameplay old school des anciens épisodes et celui
d’un RPG actuel.
<p class=valeur>Le renouveau du renouveau ?
Non content de se suffire des améliorations citées plus haut, Square-Enix America décide
d’offrir une version améliorée de Dragon Quest 8. Confus ? Et bien en plus de tout ça,
vous ajoutez des menus refaits avec les artworks des personnages, des voix digitales avec un doublage
de qualité, des bruitages refaits et l’utilisation de thèmes orchestrés au lieu des musiques
originales. Bref, une fois n’est pas coutume, la version américaine est globalement meilleure
que son homologue japonais. Que les joueurs PAL se réjouissent puisque c’est bel et bien cette
version qui sortira en Europe.
<p class=valeur>Classique et pourtant...
Dragon Quest 8 ne prétend pas être plus que ce qu’il est : un Dragon Quest.
On retrouvera donc une histoire classique sans grosses surprises mais qui tient la route et vous
donnera suffisamment envie d’avancer. Il faut également compter de nombreuses heures de level up
pour faire face aux ennemis toujours aussi forts et aux boss surpuissants. Comme d’habitude,
l’argent -loin de couler à flot- sera un problème pour acheter l’équipement nécessaire qui est bien
sûr hors de prix.
Pourtant, loin d’être rébarbatifs, ces points font partie intégrante du jeu. L’évolution des
personnages se fait aussi classiquement mais tout aussi efficacement. À chaque niveau gagné, vous
aurez le choix de distribuer des skill points dans les différentes catégories propres à chaque
personnage (cinq en tout). Votre héros deviendra ainsi spécialiste dans le maniement de l’arme
de votre choix et en apprendra tous les skills correspondants. Une commande Psychée Up est également
disponible. Elle vous permettra d’augmenter la puissance de votre prochaine attaque.
Plus vous l’augmentez plus votre attaque sera puissante. Certaines fois vous pourrez même
dépasser le seuil des 50 de tension, alors votre héros débordera d’énergie et lancera une attaque surpuissante.
Une option Tactique est aussi à votre disposition. Il vous suffira alors de rentrer des ordres
prédéfinis que les personnages autres que le héros suivront (un peu comme dans un Tales Of).
Le héros pourra également, lors des affrontements, faire appel à son animal de compagnie :
la souris Munchie qui, lorsque vous lui donnez un morceau de fromage lance des sorts en accord
avec le goût de celui-ci.
<p class=valeur>Le guide du parfait petit Alchimiste
À un moment donné vous disposerez du très pratique Alchemy Pot qui vous permettra de fusionner
deux, puis plus tard trois objets entre eux afin d’en obtenir de totalement nouveaux.
L’alchemy pot sera le seul moyen d’obtenir certains équipements ou objets, mais sera également une
bonne façon d’économiser vos précieux golds gagnés à la sueur de vos mains sur la manette.
Les objets obtenus vous éviteront souvent d’acheter l’équipement hors de prix. Attention toutefois
à ne pas mélanger n’importe quoi. Afin de vous guider vous trouverez diverses recettes dissimulées
dans les différents lieux que vous visiterez.
<p class=valeur>Une durée de vie conséquente
DraQue 8 est long et c’est tant mieux ! Plus on avance et moins on voit le temps passer ! Comptez
entre 70 et 80 heures de jeu pour la quête principale. Ajoutez à cela un monde gigantesque
à découvrir, la possibilité de recruter vos monstres et de les envoyer combattre dans la monster
arena, d’acquérir des objets uniques en jouant au casino, d’abattre les horripilants Metal Slime,
l’habituelle quête des mini-médailles ou encore de faire le donjon bonus et d’accéder à la vraie
fin du jeu, et vous dépasserez probablement les 100 heures de jeu !
<p class=valeur>LE RPG de l’année 2005 ?
Probablement oui pour la plupart des joueurs qui s’y sont essayés. Pour ma part, même si je lui
préfère les deux Digital Devil Saga, je ne peux encore une fois que m’incliner devant le
travail accompli par Level 5 et je suis vite devenu accro au titre. Pourtant le jeu n’est bien sûr
pas exempt de défauts. Mis à part le classicisme de l’histoire que j’ai déjà évoqué, il faut
avouer que même si les musiques sont enchanteresses au possible, elles deviennent vite répétitives
car l’OST n’est composée que d’une vingtaine de titres différents. Je ne citerai pas ici la
difficulté de certains combats qui est coutume dans les DQ, mais plutôt le problème
d’ordre dans lequel les personnages agissent. En effet, au cours de ces nombreuses heures passées
sur le soft, je n’ai jamais été capable de déterminer avec précision l’ordre dans lequel mes
personnages allaient jouer. Prenons un exemple, les quatre héros affrontent un monstre.
Au premier tour ils vont jouer dans un certain ordre. Au second tour, en entrant les mêmes
actions et les monstres faisant les mêmes attaques, on obtient un ordre complètement différent !
Il est facile d’imaginer combien cela peut être irritant lorsqu’on prévoit de soigner un personnage
et que le soigneur, qui a joué jusque là en premier, joue incompréhensiblement en dernier ce qui
a pour résultat la mort d’un personnage...
Je citerai aussi les déplacements en oiseau (le dernier moyen de transport) qui ne vous déposent
pas exactement aux endroits choisis mais à des emplacements prédéfinis.
<CONCLUSION>Dragon Quest VIII fait indéniablement partie des meilleurs RPGs de la PS2.
Il ravira sans aucun doute les fans de la première heure comme les nouveaux venus.
Pour sa durée de vie, son univers merveilleux et son animation sans faille on lui pardonnera le
peu de défauts qu’il a. Pour ceux qui ne le savent pas, les Dragon Quest forment
des trilogies et je regrette l’absence de liens précis avec DraQue VII : mis à part la
ville Pickham qui ressemble comme deux gouttes d’eau à celle du VII, je n’ai pas vu
grand chose. Espérons que le neuvième épisode mettra moins de temps à venir que celui-ci et
nous permettra de faire le lien entre ces trois opus.</CONCLUSION>
";
?>