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//ci après la version du jeu qui a été testée, soit NTSC/JP, NTSC/UC, PAL/EN ou PAL/FR
//selon que le jeu soit japonais, américain, européen (en anglais) ou européen (en français)
$version = "NTSC/UC";
//ci après mettre les notes que le jeu a obtenu. Les notes piles doivent etre mises
//avec un 0 apres la virgule ex : 7.0 et non 7.
$NoteTechnique="8.0";
$NoteSon="8.0";
$NoteScenario="7.0";
$NoteVie="5.0";
$NoteGameplay="7.5";
$NoteFinale="71";
//tableau contenant les plus et les moins (en attendant un autre systeme)
//s'il n'y a pas de +/-, écrire NULL, sinon la syntaxe est :
//array("");
$lesplus= array("L'humour",
"Les bonnes idées du Gameplay",
"Mint",);
$lesmoins= array("La durée de vie",
"La durée de vie",
"Les mini jeux");
//pour les screenshots, il suffit d'écrire le numéro de la première image (qui s'appelle
//mini_1, et la derniere du lot mini_x, ceci est fait pour permettre de mettre dans un meme
//dossier des images provenant de versions différentes.
$screen_debut=1;
$screen_fin=15;
//une légende par image, elle utilise la même syntaxe que les + et -
$legende=array("Attention, Rue n'est pas content",
"La ville du jeu",
"Ne pas louper son saut",
"Tout ça à lire ?!?",
"Les décors sont assez bien rendus",
"Mint...",
"... et Rue",
"À peine arrivée qu'elle se fait draguer",
"Tu me prends pour un noob ?",
"Un monstre, un !",
"Utilisez vos transformations à bon escient",
"Une des nombreuses formes de Rue",
"Mint, redoutable magicienne",
"Tiens, prends ça !",
"Un combat bien lourd");
//écrire true si les images peuvent être agrandies, sinon false
$agrandissement=true;
//Ici se trouve le texte.
//Vérifier qu'aucun " n'aparaisse dans le message et remplacez-le par $quot; (ou \" )
//dans le cas des balises HTML, ne mettait pas de " pour les attributs.
//Si vous souhaitez appliquez une mise en forme particulière :
//
sert à générer les paragraphes
//<INTRO></INTRO> délimite le premier paragraphe de votre article qui sera en gras
//<p class=valeur>
si vous souhaitez mettre une ligne en valeur
//
permet de faire un retour à la ligne.
// pour mettre un mot, groupe de mot en italique.
// pour souligner un mot, groupe de mot.
//<b></b> pour mettre un mot, groupe de mot en gras.
$contenu="
<INTRO>Tout commence un après-midi où l’ennui nous gagne Anthemis et moi. Scrutant la pile de RPGs estampillés « à finir », j’aperçois Threads Of Fate. C’est alors que le défi nous gagne : finir ce jeu dans la journée ! Verdict ? Pari réussi ! Mais parlons un peu du jeu.
Content du succès de Brave Fencer Musashi en 1998, Squaresoft décide de récidiver avec un autre A-RPG un an plus tard. Dew Prism (rebaptisé Threads Of Fate aux USA… allez savoir pourquoi) sort donc sur Playstation. La recette qui a fait la renommée de son aîné est là : humour, gameplay original, graphismes en 3D… L’originalité de Threads Of Fate est de proposer deux scénarii, le héros incarné par deux personnages différents. En route vers deux aventures aux motivations différentes mais au but commun.
</INTRO>.
<p class=valeur>Deux scenarii ou un et demi ?
« Incarnez deux personnages et suivez deux histoires complètement différentes ». C’est en effet ce que promet le résumé du jeu sur la jaquette. Il convient pourtant de rectifier cette accroche vendeuse. Si les histoires de base et les motivations des deux personnages sont effectivement différentes, les lieux visités, les personnages rencontrés et la ligne conductrice du scénario restent les mêmes, à une ou deux exceptions près. Seuls le gameplay diffère grandement selon le protagoniste choisi en début de partie : l’éternel choix entre le garçon (Rue) et la fille (Mint).
<p class=valeur>T’es à la Rue ?
Un jeu de mots minable je l’avoue mais qui colle parfaitement à l’histoire de Rue. Sans aucun souvenir de son passé, Rue s’écroule épuisé devant la porte de Claire. Cette dernière va le soigner et le recueillir. Alors que la vie s’écoule paisiblement, un étrange personnage à la puissance démoniaque surgit pour affronter Rue. Prise dans la bataille, Claire trouve la mort. Rue se met alors en quête d’une ancienne relique qui pourrait ramener sa bien-aimée à la vie…
<p class=valeur>Princesse et enfant gâtée
Mint -plus difficile de faire un jeu de mots avec son nom- est la princesse héritière du royaume de l’est. Égoïste et mal élevée, son comportement de peste va très vite faire craindre le pire aux habitants du royaume. Voyant cela, la cadette de Mint, Maya, va décider de prendre la place de sa sœur sur le trône. Humiliée, la princesse déchue décide elle aussi de se mettre à la recherche de la relique afin de se venger de sa sœur et de contrôler le monde.
<p class=valeur>Deux pouvoirs distincts
Si chaque personnage a le même but, ils vont chacun avoir des capacités différentes pour y parvenir. Rue possède un pouvoir unique, celui de se transformer en monstre et d’utiliser leurs caractéristiques. Il suffit pour cela de tuer un monstre d’une espèce et de récolter la médaille à son effigie. À vous donc d’utiliser les pouvoirs de chaque monstre à bon escient afin de résoudre les énigmes en travers de votre chemin.
Mint, elle, est une magicienne aguerrie et c’est donc en tant que telle qu’elle affrontera les monstres. Les sorts sont répartis par couleur et effets. Il est alors possible de créer de nouveaux sorts en combinant les effets et les sorts entre eux. Là encore, il vous faudra faire preuve d’inventivité pour résoudre les énigmes.
<p class=valeur>Le monde est petit
Une seule ville pour toute l’histoire, là encore, comme dans Musashi, on effectuera des aller-retours entre les donjons et la ville pour y sauvegarder, dormir ou s’équiper. Les lieux et les donjons sont assez variés heureusement et se font sans trop de difficulté. Graphiquement, le jeu est plutôt agréable et coloré. Le gameplay se révèle intéressant mais il aurait pu être plus poussé à mon avis. L’intérêt majeur de Threads Of Fate réside bel et bien dans son humour qui touche juste surtout grâce à Mint et Elena, véritables éléments comiques du jeu.
<CONCLUSION>Au final Threads Of Fate souffre quand même de défauts importants : durée de vie très faible, deux scénarii qui se révèlent être sensiblement les mêmes et un gameplay intéressant mais peu poussé. Pourtant le titre est cohérent et bourré d’humour et l’histoire, sans être incroyable, reste accrocheuse. Un jeu sympathique donc, qui vous fera passer un moment agréable.</CONCLUSION>
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