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//ci après la version du jeu qui a été testée, soit NTSC/JP, NTSC/UC, PAL/EN ou PAL/FR
//selon que le jeu soit japonais, américain, européen (en anglais) ou européen (en français)
$version = "NTSC/UC";
//ci après mettre les notes que le jeu a obtenu. Les notes piles doivent etre mises
//avec un 0 apres la virgule ex : 7.0 et non 7.
$NoteTechnique="9.0";
$NoteSon="8.0";
$NoteScenario="7.0";
$NoteVie="8.0";
$NoteGameplay="8.0";
$NoteFinale="82";
//tableau contenant les plus et les moins (en attendant un autre systeme)
//s'il n'y a pas de +/-, écrire NULL, sinon la syntaxe est :
//array("");
$lesplus= array("La découverte d'un myhte",
"Les modes bonus",
"Le système de FFII",
"Un remake réussi");
$lesmoins= array("Fréquence des combats",
"difficulté");
//pour les screenshots, il suffit d'écrire le numéro de la première image (qui s'appelle
//mini_1, et la derniere du lot mini_x, ceci est fait pour permettre de mettre dans un meme
//dossier des images provenant de versions différentes.
$screen_debut=1;
$screen_fin=10;
//une légende par image, elle utilise la même syntaxe que les + et -
$legende=array("Composez votre équipe (FFI)",
"L'aventure commence (FFI)",
"Le bestiaire (FFI)",
"A l'attaque ! (FFII)",
"L'invasion de l'empire (FFII)",
"Une cinématique (FFII)",
"A la recherche du frère perdu (FFII)",
"Quatre élus (FFI)",
"Au feu !!! (FFI)",
"Les rebelles contre l'empire (FFII)");
//écrire true si les images peuvent être agrandies, sinon false
$agrandissement=true;
//Ici se trouve le texte.
//Vérifier qu'aucun " n'aparaisse dans le message et remplacez-le par $quot; (ou \" )
//dans le cas des balises HTML, ne mettait pas de " pour les attributs.
//Si vous souhaitez appliquez une mise en forme particulière :
//
sert à générer les paragraphes
//<INTRO></INTRO> délimite le premier paragraphe de votre article qui sera en gras
//<p class=valeur>
si vous souhaitez mettre une ligne en valeur
//
permet de faire un retour à la ligne.
// pour mettre un mot, groupe de mot en italique.
// pour souligner un mot, groupe de mot.
//<b></b> pour mettre un mot, groupe de mot en gras.
$contenu="
<INTRO>Toute saga à un début… Je ne parle pas ici de Star Wars, mais de Final Fantasy. Les deux premiers épisodes ont déjà subit un remake Wonderswan et un second sur Playstation avec la compilation « Final Fantasy Origins ». Le dernier en date est sur GBA dans une cartouche baptisée « Final Fantasy I & II Dawn Of Souls ». Parlons d’abord du tout premier jeu d’une grande saga.</INTRO>.
<p class=valeur>Les quatre élus
La légende dit que lorsque le monde sera gagné par le chaos, quatre guerriers de lumière, portant chacun un cristal, apparaîtront. Si l’histoire est évidemment basique et se résume à un enchaînement de donjons parsemé de quelques rares dialogues, le scénario se révèle tout de même un semblant travaillé et bien plus développé que celui de Dragon Quest.
<p class=valeur>Le début d’une saga
En tant que premier jeu d’une saga datant aujourd’hui de plus de 20 ans, le jeu est assez basique mais propose néanmoins bon nombre d’éléments intéressant. Ainsi, même si comme son « ainé » DraQue, les personnages ont un charisme quasi inexistant, on peut néanmoins créer l’équipe de son choix par le biais des 6 classes disponibles au départ. Chacune de ces classes à des caractéristiques propres allant du Warrior au Black Mage et pourra évoluer en un job plus puissant vers le milieu du jeu.
L’ATB n’étant pas encore inventée à l’époque (créée avec FFIV), les combats de Final Fantasy se déroulent au tour par tour. Pas d’invocations non plus (créées avec FFIII), les seules commandes disponibles seront l’attaque, la magie, les objets ou la fuite.
<p class=valeur>Les erreurs du début
Le RPG console étant à ses balbutiements, il y a de nombreux points qui seront améliorés par la suite mais font défaut à FF ? Je retiendrai par exemple l’impossibilité d’utiliser une commande « défendre » car absente. Si les sorts s’achètent comme des objets dans une boutique, il vous faudra les choisir avec parcimonie car il y a plus de sorts que d’espaces disponibles dans votre inventaire.
<p class=valeur>Le remake GBA
Passons outre les refontes graphique et sonore du titre déjà présentes sur les remakes WonderSwan et PSOne et le bestiaire également présent sur cette dernière, pour s’attarder sur le mode Soul Of Chaos exclusive à la portable. Ce dernier est en fait composé de 4 donjons bonus associés chacun à un élément. Assez dur de nature, ils ont en plus la particularité d’avoir des cartes aléatoires. Entendez par là que l’ordre des étages change à chaque fois que vous entrez dans un de ces donjons. Au bout vous serez gratifier d’objets et monstres inédits et attendus par de boss surpuissants… Bonne chance.
<p class=valeur>Vous voilà prévenu
Bien moins énervants que la version PSOne grâce à des temps de téléchargement inexistants, doté de quatre donjons bonus inédits et transportable partout, cette version du premier Final Fantasy donnera satisfaction aux joueurs qui ne s’y sont jamais essayé. Attention tout de même, le jeu reste très basique et la fréquence des combats est élevée…
<p class=valeur>Le retour de Final Fantasy
Fort du succès du premier épisode, Squaresoft décide de faire un Final Fantasy II. Pourtant, la série va prendre un virement différent de son concurrent (DraQue). En effet, le second Final Fantasy n’aura aucun lien scénaristique avec le premier et proposera un nouveau système de progression, de magies et des personnages bien plus développés.
<p class=valeur>Sus à l’empire
L’empire, poussé par un empereur diabolique, entend bien étendre sa domination au monde entier. Les rebelles battus dans leur propre ville sont obligés d’abandonner Fynn aux mains de l’envahisseur et sont contraint de se réfugier à Altair. Trois jeunes, ayant perdus leurs parents dans la bataille, vont décider de rejoindre la rébellion afin de chercher leur frère disparu et de venger leurs parents. Ainsi commence l’histoire de Firion et des ses compagnons.
L’histoire est ici bien plus développée et bien plus travaillée que dans l’épisode précédent. Les personnages ont également une vraie personnalité et ne sont plus relégué au plan de « simples jobs ».
<p class=valeur>Un système comme dans la vraie vie
La principale particularité de Final Fantasy II repose dans ce système que je baptiserai de « comme dans la vraie vie ». Plus clairement vous ne monterez pas en expérience comme dans la plupart des RPGs. Pour augmentez vos statistiques il vous faudra pratiquer. Oui, pratiquer ! Plus vous frapperez, plus votre force et votre habileté à l’arme utilisée augmentera. Plus vous prendrez des coups et plus votre résistance et vos HPs augmenterons. Et c’est comme ça pour toutes les statistiques. Il en va de même pour les sorts, ces derniers gagnerons en efficacité au fur et à mesure que vous les utiliserez. Ce système à la fois simple et efficace permet de façonner réellement ses personnages au fur et à mesure du jeu. Attention toutefois à continuer dans la voie que vous avez choisie, car lorsqu’un attribut augment (la force par exemple), son contraire diminue (ici l’intelligence).
<p class=valeur>Les vraies bases de la saga
Si l’ATB n’est toujours pas de mise tout comme les invocations, FFII introduit plusieurs éléments qui deviendront récurrents dans la saga. Les deux principaux sont l’apparition du personnage Cid, déjà en possession de son airship et des fameux chocobos.
<p class=valeur>Soul Of Rebirth
Tout comme FFI, le remake de FFII propose un mode bonus mais qui cette fois ci est bien plus intéressant. Le mode Soul Of Rebirth ne s’ouvre qu’une fois le jeu terminé et vous permet d’incarner quatre personnages croisés dans le jeu dans l’accomplissement d’une tâche essentielle. Là encore, ce mode se révèle bien plus dur que le jeu lui-même et vous demandera de nombreux level up afin d’espérer tenir tête aux deux boss bonus.
<p class=valeur>Un retour réussi
Bien plus intéressant que son ainé en beaucoup de points Final Fantasy II se révèle être une bonne surprise. Toutefois le système de progression ne plaira pas à tout le monde et demande un investissement certain.
<CONCLUSION>Enième remake de [i]FFI[/i] et [i]FFII[/i] et pourtant remake réussi en tout point. Bien plus que la version PSOne et ce, grâce au support qui nous évite des temps de chargement pénibles. Ajoutez à cela un mode bonus par jeu dont un très intéressant (celui de FFII) et vous obtiendrez une cartouche qui vous fera passer de nombreuses heures devant votre écran.</CONCLUSION>
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