Dans un autre style, je découvre petit à petit le cinéma d'Antonioni (dernièrement Blow-Up), et je crois avoir enfin trouvé mon cinéaste préféré (tout du moins est-il bien parti pour le devenir ^^), là où Tarkovski et Bergman tournent un peu à vide, de mon point de vue. La narration est dissolue au possible, on arrête enfin de prendre le spectateur pour un con fini.
Vu Le Secret Derrière La Porte de Fritz Lang, aussi. Quand on a zieuté Rebecca et/ou La Maison du Docteur Edwardes, ça perd grandement en intérêt ; malgré tout, la photographie reste superbe ; de même, l'intrigue, quoique clichée dans son approche psychanalytique, s'affirme comme ultra sombre et angoissante (imo).