Moi je tiens pas bien l'alcool donc étant donné que je suis souvent en concert et que j'apprécie l'ivresse, il m'arrive parfois de vomir quand j'ai bu trop vite plusieurs verres d'alcool fort. Et quand on vomit, on se tache !
Mais j'ai déjà vu des amis se dégueuler littéralement dessus mais c'est assez rare, heureusement !
Quand aux drogues bah fumer quelques joints avec des amis j'adore ça, le plaisir de l'ivresse de la même façon.
Mon dernier abus, que j'ai beaucoup apprécié malgré tout, c'était il y a quelques semaines. J'étais saoul la veille, et le dimanche matin on rattaque au whisky, gentiment, puis on fume quelques joints. Et j'étais fait toute la journée !
Et sinon sur les festivals je suis très ouvert au LSD, beaucoup moins à tout ce qu'est extasy, A.M.D...
edit : et je ne dirais pas non à une poëllée de champignons
Et enfin sexualité, bah chacun sa libido. Du moment que c'est assez équilibré dans le couple. Moi c'est un peu comme Magus :blush: (Tu viens ?)
EDIT : sinon, concernant la consommation de lait et de vin, et surtout leurs industries, c'est pour moi un problème minime.
Quelque chose de bien plus ancré dans les habitudes alimentaires et dans l'esprit collectif, c'est la consommation de viande. La plupart des gens mangent de la viande à chaque repas, blanche ou rouge, alors qu'elle est très mauvaise pour la santé à long terme, sans compter les conséquences en terme de pollution, famines en Afrique centrale, maltraitances animales que provoquent l'élevage industriel intensif.
Certains nutritionnistes pointent du doigt la consommation de viande excessive comme responsable de certains cancers, comme le cancer du sein chez la femme. Et les dégâts sur le cœur sont réputés.
La viande n'est pas un aliment particulièrement naturel pour l'homme, et même si depuis la préhistoire, il a évolué pour arriver à la digérer partiellement (une fois cuite bien entendue), elle fait souffrir le corps...
Malgré tout, on en parle quasiment jamais sur les médias de masse, car l'industrie de la viande est gigantesque et l'habitude trop ancrée.
Il n'est pas forcément nécessaire de devenir végétarien (c'est ce que j'ai fait pourtant), mais réduire sa consommation (surtout de viande rouge), c'est se préserver.